Comme je l'ai dit, c'est la cellule qui assure la mesure de lumière. Et dans le cas qui nous occupe, le boîtier ne fait pas de mesure du tout étant donné qu'il n'a pas accès aux infos de l'objectif, faute de puce. Une expo c'est un diaph et un temps de pose en fonction d'une sensibilité. Là, le boîtier n'a pas accès au diaph, les automatismes sont donc squizzés... et comme le boîtier ne peut effectuer de mesure à ouverture réelle (choix marketing de Nikon de brider les boîtiers amateurs), c'est sans issue.
Donc il n'y a pas de mesure du tout, et on se retrouve sans cellule, comme sur un Leica M3 ou un Nikon F des années 1950-1960. Alors soit on fait une mesure avec une cellule à main, soit on fait des réglages au pif, en ajustant d'après le résultat vu à l'écran et sur l'histogramme. C'est chiant et parfois long mais ça marche aussi.
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