Bé c'est simple,
Un F3 avec un viseur de poitrine mesure la lumière comme il le fait d'habitude par la cellule qui est dans le boîtier et non dans le prisme comme sur le F ou le F2. C'est d'ailleurs un des avantages du F3 par rapport au F et F2.
Malin Monsieur Nikon: dans les années 60/70 la technologie des cellules évolue à vitesse grand v, la cellule est dans le prisme. On passe d'une mesure externe (photomic t,tn ) à une mesure TTl( FTn) pas de problèmes on change le prisme et pas le boîtier. On passe du Cds au silicium, pas de problèmes non plus, on change les prismes DP1 au DP2/3 respectivement 11/12 pour le F2.
A partir des années 80 la technologie des cellules étant moins soumise à progrés importants la cellule rejoint le boîtier comme celle des concurrents.
Oui, c'est exactement ce que j'ai cru comprendre moi aussi. Donc, sur un F3, le prisme n'entre nullement dans la mesure de la lumière. Avantage supplémentaire : pas besoin d'un obturateur d'oculaire pour les expos automatiques.
A ma connaissance, le seul boîtier à avoir fait pareil (mais j'ignore comment - était-ce aussi par un système de miroir micro-perforé ou autre chose ?) en 24x36 était le Pentax LX. En moyen format, chez Bronica, il y avait d'autres solutions qui donnaient des résultats similaires, notamment grâce au miroir en deux parties, censé, de surcroît, réduire les vibrations.
Le EC-TL doit vraiment être une sacrée bête. Faudra bien que je m'en trouve un...
