Ceci dit le format N raw suivant mes tests un peu intuitifs sur des découvertes surexposées indiquent que la limite "déchirement des blancs " est franchement meilleure que le 4.2.2 ,ce qui est sûr on peut dire que tourner en raw donne plus de souplesse à l'étalonnage quand on doute de son exposition ou bien qu'on veut peaufiner
Il faut bien faire attention: Le format N-RAW tout court n'utilise pas le mode
Dual-gain (amplification différenciée du signal analogique pour les basses et les hautes lumières), mais le mode standard. Les hautes lumières ne sont guère plus récupérables qu'en H265, un peu plus tout de même puisqu'on est en 12 bits, et aussi parce que les nuances des couleurs sont plus riches, puisqu'on est débarrassé de la compression Y’CbCr.
Il vaut mieux utiliser le N-RAW N-Log, qui utilise le mode
Dual-gain et qui n'est pas plus lourd que le N-RAW du fait du codage logarithmique, ce qui place la saturation du capteur à environ + 5 IL par rapport au gris moyen, au lieu de + 2,5 IL en mode standard.
Cela ouvre des horizons, mais c'est plus délicat pour déterminent la bonne exposition de base.
Je travaille actuellement ce sujet, à travers des tests et je l'espère une modeste réalisation, dans le but de partager avec tout le monde mes expérimentations et ma méthode pour utiliser le N-RAW N-Log à la prise de vue et au développement sans trop se casser la tête tout en tirant néanmoins des bénéfices tangibles.
Je précise s'il en était besoin que tout le monde fait ce qu'il veut, que je ne prétends pas détenir la moindre vérité sur ce sujet que je suis loin de maîtriser, et que je cherche juste à partager mon expérience avec d'autres personnes bienveillantes qui voudront bien partager la leur avec moi, afin que nous puissions tous progresser.
J'arrête là ce sujet, et j'espère que Christophe ne m'en voudra pas trop pour cette digression.