Je résume les idées qui viennent compléter mon message initial :
► Idées qui me semblent très intéressantes
• une sensibilité native de 100, 50, voire 25 ISO
> pour pouvoir prendre par lumière intense, des photos avec une grande ouverture, et/ou avec une durée d'exposition longue
• Viseur plus grand et offrant un meilleur grossissement (important pour la mise au point manuelle) > voir le viseur du D700
> et qui reste à 100%
• Buffer plus grand : pour des rafales de 20-30 RAWs
• Module GPS intégré
• pour améliorer la dynamique, il y a plusieurs voies : capteur style Fuji S5 Pro, traitement HDR de plusieurs RAWs avec bracketing sur exposition, …
• Détection des visages pour l'AF
> j'ai lu qu'il y a un compact qui propose déjà la détection des sourires … à quand la détection des yeux grands ouverts ?
►Autres idées
• bundle D400 + NX2, comme il y a des kits boîtier + objectif
• la compatibilité avec les anciens objectifs : à maintenir
• meilleure autonomie
> cela peut devenir important, en particulier pour ceux qui filment beaucoup. Je trouve que la vidéo HD, avec des capteurs photo ce sera 'wow' quand ce sera au point.
• pouvoir désactiver la réduction du bruit non débrayable > important pour les astronomes
• RAW 16 bits
> puisque Photoshop travaille en 16 bits, pourquoi se limiter à 14 ou 12 sur les capteurs ? Une raison probable : la taille des fichiers augmente et les rafales ralentissent …
►Idées suscitant le rejet:
• plus de 12 Mégapixels sur un capteur DX, serait céder à la déesse 'marketing', pour prendre des images moins nettes
> à cause de la diffraction. En effet, théoriquement, la diffraction limite l'ouverture à qualité maximale à f11 sur un capteur APSC (DX)
• le capteur stabilisé
> on perdrait la visée stabilisée : cela doit être vrai, je n'y avais pas pensé, (merci Endymion)
• les effets artistiques intégrés
• les modes scène du D90
> je me demande pourquoi …
►Mes interrogations
• zoom 18-250 à 300 VR : suis-je le seul à vouloir acheter Nikon, plutôt que Tamron ? Cela ne vous intéresse vraiment pas ?
À bientôt,
Roger