[Richm]

... et personne ne parle du Tamron 90 mm VC SP f/2.8 Di Macro ! 

Je l'avais rapidement évoqué, et à la vue des différents arguments avancés par chacun, je pense de plus en plus ce serait un très bon compris :
- Le poids est raisonnable, comme tu le soulignes.
- Il est plus lourd qu'un 85mm f/3.5, mais il est compatible plein format, ce qui signifie qu'il est plus facile à revendre d'occasion (au cas où ...), ou bien on peut le garder si on passe au plein format.
- Le fait qu'il soit plein format permet de n'utiliser que la partie centrale de la lentille en DX, doc seulement le meilleur du meilleur de l'optique.
- La longueur focale permet un juste milieu entre un 60mm et un 105mm.


Concernant le 60mm AFS, je ne lui trouve aucun intérêt en DX (d'un point de vue macro). Il ne permet de gagner que des pouillèmes de centimètres par rapport au 40mm, contrairement à l'AFD, alors qu'il est plus cher et plus gros (et donc plus lourd).

[domenge]

au rapport 1/1, la pleine ouverture n'est en général pas possible...

bien sûr même si tu choisis en manuel une ouverture de 2.8..... à fort grossissement tu seras plus proche d'une ouverture réelle de 4 .....

[jp_g]

Oui, j'ai retrouvé un fil, à propos de l'ouverture et de la distance minimale pour un macro :
http://forum.nikonpassion.com/index.php?topic=126618.msg1165528#msg1165528

[Richm]

bien sûr même si tu choisis en manuel une ouverture de 2.8..... à fort grossissement tu seras plus proche d'une ouverture réelle de 4 .....

Je pense que Papydaniel parlait aussi de la PDC tellement courte à PO que ce n'était pas utile, ni vraiment utilisable, d'autant plus à main levée.

[Weepbitterly]

En fait, le diaphragme ne se ferme pas vraiment, ce qui se vérifie avec un objectif à bague de diaphragme crantée (un AI par exemple). Et ce qui se confirme par le fait que l'ouverture s'étend au delà du minimum mécanique, c'est à dire au delà de f/32.

C'est le tirage qui augmente et donc la lumière qui "diminue". Le boitier calcule lui-même la correction à apporter.

"Autrefois", il fallait calculer soi-même la correction, en fonction du rapport de grandissement.

[adupuis]

"Autrefois", il fallait calculer soi-même la correction, en fonction du rapport de grandissement"

C'était exactement le cas:
avec une perte d'environ 2 IL au rapport 1/1 (+/- selon le coefficient pupillaire, nettement moins avec l'Elmar 3,5  65 pour Leica M).
Le coefficient de prolongation de temps de pose dépendait selon la vieille documentation Leitz : 1-du rapport de reproduction; 2-du coefficient pupillaire.
Ce dernier était indiqué par ce fabricant ; on pouvait aussi le déterminer en faisant le rapport du diamètre apparent du diaphragme légèrement fermé vu côté sujet et côté film ; c'était très favorable avec l'Elmar 3,5 65 mm, dont le pas de vis identique aux têtes de 4  135 mm et Elmarit 2,8   90 mm permettait l'utilisation en commun du soufflet 2 ou des kits de bagues ; ces deux dernières focales avaient un coefficient pupillaire moins favorable avec une perte de luminosité plus rapide avec l'augmentation du rapport de reproduction. Le 65 mm allait jusqu'au grossissement 1,4/1 sur le soufflet ; au delà c'était le domaine (inconnu pour moi) des Photar de focale plus courte.