Le respect dû à ce photographe de légende et la recherche de la vérité historique ne me semblent nullement inconciliables.
Qu'il n'ait réussi à faire "que" 11 photos pendant "seulement" 30 minutes sous le feu allemand (là où la plupart d'entre nous ne pourraient rien faire d'autre que pisser dans nos frocs) ne diminue en rien son mérite, d'y avoir été, et d'y avoir fait son travail.
La thèse soutenue par Coleman mérite d'être examinée et étudiée, même 70 ans après, au titre de la recherche de la vérité historique concernant un événement lui même, ô combien, historique.