Il faut être conscient que le 120-400 nécessite une lumière abondante, sans quoi on jongle entre faible vitesse et bruit ISO.
A mon avis ce n'est pas aussi simple, car tout cela est surtout lié aux performances du boîtier utilisé en haute sensibilité.
C'est sûr qu'avec le D200 la montée en iso est un vrai problème : je le sais pour en avoir eu un, car même au 300/4 AF à po en sous bois c'était pas évident, et le résultat était trop souvent crade avant même 800 iso, même après un post traitement "musclé".
Seulement il faut voir qu'avec les boîtiers actuels la montée en sensibilité n'a plus rien à voir avec la génération des D200/D80 : les boîtiers montent bien plus loin, et surtout la qualité est bien meilleure à sensibilité égale : le D200 se dégrade vers 640 iso, et ça devient vite limite dès 800 iso, alors que par exemple les 1600 iso du D700 sont meilleurs que les 640 iso du D200...
Du coup avec le D700, on peut aller à 6400 iso sans difficulté (moyennant un post traitement léger et adapté), voire même un peu plus pour les plus habiles. En conséquence, l'ouverture du 120-400 n'a jamais été un problème, alors que dépasser les 800 iso au D200 tenait plus du sauvetage qu'autre chose.
Après c'est sûr il faudra nuancer en fonction du boîtier utilisé, car même si aujourd'hui le D700 n'est plus le meilleur en haute sensibilité (après avoir été le meilleur avec le D3 dont il partage le capteur et l'électronique), il reste quand même dans le peloton de tête.
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