j'avais trouvé cet endroit peu fréquenté après que ceux que je visitais habituellement
ont été exterminés.
malheureusement, tout à l'heure le paysan m'est tombé dessus.
toujours les mêmes raisonnements débiles, genre: est-ce que je vais dans ton jardin, moi?
ici on est chez nous, c'est privé, on paie des impôts...
vu la carrure du gars et son état d'énervement, j'ai préféré garder pour moi ce que je pensais.
ils m'en reste quelques-unes en réserve, dont une de brocard perdant ses velours, prises hier, que je posterai dans les jours à venir.
bruno