En argentique, avec une dynamique limitée à 6 EV le plus souvent (diapos) j'avais appris qu'il fallait idéalement régler l'exposition afin de conserver le détail des hautes lumières, hormis les reflets spéculaires, étant donné que celles-ci étaient prioritairement perçues par l’œil ; il me semble que la défunte revue Photologie abordait le sujet en détail. Les anciens systèmes de mesure multi-zone écrêtaient dès IL 19 (si je me souviens bien), afin de ne pas prendre en compte ces zones brûlées sans intérêt pour le rendu photographique.
La dynamique actuelle est devenue énorme, mais je continue d'éliminer les vues surexposées dont certaines plages importantes sont irrécupérables (notamment sur la peau).
A contre-courant, je n'ai pas tout compris.
Cdt