[Heywood Floyd]

On pensait le Pr Blurp spécialisé en zoologie, mais en fait non : c'est un archéologue !

Pas mal ce déterrage.

A décharge des amateurs d'il y a 10 ans, on était sans doute plus facilement bluffé à l'époque qu'aujourd'hui. Nos exigences ont évolué avec le temps.

[Buzzz]

Alors qu'on sait tous aujourd'hui qu'à 800 ISO, le D200 est à la peine.
A se demander quel dérawtiseur utilisaient les marketeux de l'époque, ou s'il mentaient sur la sensibilité utilisée.

Une plongée nostalgique dans les archives de NP est l'occasion d'un déterrage en règle de fil, à l'heure où un lointain descendant du D200 pointe le bout de son nez.

Par rapport aux standards de l'époque (D70/D100, déjà la peine au-delà de 400 iso ou le film argentique encore plus granuleux) le D200 ne s'en tirait pas si mal... Mais il y a tellement eu mieux depuis que le D200 est tombé de son piédestal depuis quelques années déjà.

Cela étant dit, on gagne un bon diaph voire plus en dérawtisant ses vieux Nefs de D70/D200 avec un outil récent : les images en haute sensibilité profitent pleinement des dernières technos pour atteindre un niveau de qualité inespéré à l'époque de la prise de vue.

Buzzz

[Pr. Blurp]

A l'époque, je faisais du JPEG natif, et affichées sur un sVGA cathodique, les prises de vues à 1600 ISO faisaient plutôt bonne figure (surtout comparé au bridge 3Mx que j'avais avant), grâce à l'efficace réduction de bruit ISO embarquée.
Les même photos affichées sur les moniteurs HD modernes montrent les limites de l'exercice.
Si j'utilise encore de temps-à-autres mon D200, même en développant les RAWs avec LR5, je reste prudemment en deçà des 800 ISO.