Il ne faut pas oublier que si le boîtier affiche les ouvertures relatives réelles (intégrant le coefficient de tirage qui est égal à (1+grossissement)² (soit environ 1/3 de diaph à l'échelle 1/10... d'où la pleine ouverture qui passe à 3,0...) - il doit y avoir des explications détaillées dans les archives), ça n'a pas que des inconvénients :
- pas de correction d'exposition à calculer quand on travaille en manuel au flash
- et surtout pas besoin de se prendre la tête pour savoir à quel moment la diffraction va devenir visible : sur un D300, elle l'est à f/16 (et à f/11 sur un D7100) que ce soit avec une mise au point à l'infini ou au rapport 1...
La méthode "ancienne", que l'on trouve expliquée dans les bon livres, dit que pour ne pas avoir de diffraction visible, il faut tenir compte du rapport de reproduction pour ne pas trop diaphragmer.
Ainsi, au rapport 3, le coeff est de (1+3)² = 16 soit 4 crans de diaphragme... et sur un D7100, il ne faut pas aller au delà de f/4 (et c'est là qu'on se rend compte qu'un objectif macro qui ouvre à 2 n'est pas une hérésie).
A+
Laurent Galmiche