En résumé : il y a 36 manières de s'y prendre et aucune n'est meilleure que l'autre.
D'une part, cela dépend des habitudes de chacun.
D'autre part, cela dépend du type de concert.
Par exemple, un concert classique où tout le monde est assis et éclairé de manière douce et constante ne posera évidemment pas les mêmes problèmes qu'un concert de métal où tout le monde saute en l'air sous un éclairage violent et extrêmement contrasté.
Donc qui dit problèmes différents dit généralement solutions différentes
Pour reprendre tes propositions de réglages, je dirais que 90 % des concerts que j'ai photographiés ne nécessitaient jamais l'utilisation du mode AFC. Comme celui-ci génère plus de risque que l'AFS, ça serait idiot de s'en servir. Mais ça ne veut pas dire que ce réglage est mauvais, simplement il est plutôt adapté à un certain type de concerts pour lesquels l'AFS ne donne pas satisfaction.
Pour les isos, ça n'est pas l'histogramme qu'il faut regarder, c'est la vitesse (en mode A). Ou encore l'indication de sous-exposition en mode S ou M). Si tu attends de prendre la photo pour ensuite vérifier l'histo, tu auras toujours un train de retard et il y a des photos qu'on ne peut pas refaire. Donc c'est avant de déclencher qu'il faut vérifier l'exposition, après c'est trop tard
Et effectivement, la plupart du temps, on photographie le plus ouvert possible, tout simplement parce qu'à f/5.6, on a soit une vitesse trop basse, soit un réglage iso trop élevé.