Pour tous ceux qui ont connu les agences photo des années 70, c'est une grande perte.
Il s'agaçait parfois de son côté "découvreur de talent". Il avait l'impression de former les meilleurs pour la concurrence. Passés chez Sipa, les photojournalistes étaient pressés d'entrer chez Gamma ou Sygma. C'était pour eux une sorte de consécration. Ou un miroir aux alouettes.