Bonjour,
Je trouve la seconde version plus percutante.
La pente paraît plus forte et le papi me donne l'impression d'être écrasé/courbé par les mots.
A la limite, sur la première on dirait que le papi s'arrête et regarde son chemin/son futur décliner.
C'est ce que m'inspire ces 2 photos.
Merci de ton passage.
La vue de la photo 1 me parait en effet moins percutante.
Si on part du principe que les murs décrépits représentent une société occidentale dont certaines valeurs qui en sont les piliers (qu'on soit ou non d'accord) se délitent, le plan large est sensé montrer qu'elle est touchée dans son ensemble.
La seconde photo met l'accent sur un aspect particulier de la remise en question globale, celle du patriarcat.
L'idée de départ, je l'avais au moment de faire les clichés (j'ai déclenché plusieurs fois).
C'est au traitement que j'ai vu qu'un certains nombre de détails figurant sur les images permettaient de la renforcer. On découvre parfois des petits détails qui servent l'intention. Et j'ai pu prendre mon temps pour shooter car le "sujet mobile" n'avançait pas bien vite...
Bizarrement, comme je le disais à Hissann, la pente ne m'avait pas titillé l'esprit alors qu'elle renforce l'idée de déclin.