Pour la dernière, il était venu me voir au ras du ponton et avait entrepris de grignoter une amarre. Ensuite il s'est servi de cette dernière comme d'un "repose bec" pour mieux m'observer. Je rajoute le cliché plus un autre qui, en plus de montrer mon plus beau sabot, indiquera à quelle distance s'est approché l'oiseau. (Ben oui, en bon breton, je marche avec des sabots! Défense de rire

)