Je pense qu'au-delà de la chance, il y a une excellente connaissance des animaux, aucune appréhension non plus, et peut-être par conséquent des prises de risque calculées. Enfin c'est comme ça que je vois les choses.
Il faut de bonnes conditions et pouvoir se ménager une retraite au cas où : je suppose que malbrecq sait ce qu'il fait.
Et puis un père ou une mère sangliers n'ont aucune raison de s'attaquer à un sapin !
Bon, certes, ce sapin fait cliclic...