Nikon Passion : Communauté Photo
Choisir votre matériel Photo => Nikon argentique => Discussion démarrée par: jmib55 le 06 Oct, 2007, 23:31:57 pm
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J'ai eu la bonne idée de glisser un jeu de pile dans mon F801s aujourd'hui et de redécouvrir cette merveille. AF assez rapide, visée claire, affichage dans le viseur lisible (contrairement à mon D80).
Du coup je l'ai chargé avec un Tri-X 400 qe j'avais en stock et ai proposé à mon fils de 9 ans de faire ces premières photos.
Pour lui apprendre la photo, je crois bon de passer par l'argentique. Entre autre pour apprendre à économiser en nbre de prise de vue et donc à soigner celles-ci.
Conclusion, il adore. Le seul problème, mon F801 est un peu lourd pour lui.
Si son intérêt se confirme, je lui achèterait bien un appareil d'occasion et un 50mm.
Quel sont vos conseils ?
un FM our FE ?
un F301/F401 ?
un F50/F70 ?
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Bonjour,
Pas si simple car:
FM/FE: philosophie déjà différente du F801
F301/F401: bof!
F50/F70: plus proche de l'esprit du F801
Pierre
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autre suggestion : F65 : pas cher, pas lourd, AF, PSAM, test PDC, etc...l'éternel oublié mais pourtant très complet..
:)
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Ma fille a commencé à 12 ans avec un F65.
Appareil assez simple mais complet et pas cher
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Je suis encore en argentique (parceque déja équipé), mais je vois pas trop ce que ça apporte por l'aprentissage. Apprendre à prendre moins de photos, ok. Mais en même temps on apprends peut-être plus vite en ayant la possibilité de voir les exifs de ce qu'on a pris (quand je débutais j'aurai voulu avoir un dos qui note ouverture et vitesse), et en faisant des essais à différentes ouvertures/vitesses, surex sousex...
Bon apres faut voir combien ça te coute par rapport à un kit D50 d'occasion, c'est sûr un F65 c'est pas cher. Moi je rajouterai un 50mmf1,8 pour 80€ histoire de voir ce que c'est que la profondeur de champ (parcequ'à f5,6). Ne pas oublier que la diapo coute une fortune et que c'est dur d'avoir des tirages de qualité. Et le néga c'est pas mal mais pour la créativité, c'est décevant de voir que quand on expose +1 ou -1 on a le même résultat car le tirage est moyenné par la machine. De même j'avais parfois de belles couleurs sur un 10x15, je demande un 20x30 et là tous les reglages sont différents et c'est pâle, sombre ou autre...
Par contre si tu l'initie au labo N&B là c'est vachement sympa (moi je crois que c'est ma premiere experience photographique avec mon père!)
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Si non un minox tout manuel (diaph/vitesse/map) avec un 35mm qui arrache bien, c'est vraiment léger pour mettre dans la poche: à 9ans s'il veut apprendre c'set bien. Mais si c'est pourle plaisir de la visée reflex...
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@Pierre, Bertrand200, gxhibitte, jlp, Patoc, ch'ti_bobo
Merci pour vos suggestions.
Mon fils n'en est qu'à son premier film. Il n'est donc pas nécessaire de coller à la philosophie d'un appareil particulier juste identifier un appareil qui peut travailler en (semi-)manuel (M,A, S), pas cher et robuste mais pas nécessairement bourré d'électronique ni dans un état cosmétique parfait. Par contre je n'ai personnemement pas d'expérience Nikon en dehors du F801s (j'ai commencé par un Olympus OM40, nul n'est parfait) et donc je ne peut que difficilement juger par moi-même de la 'philosophie' d'un FM ou d'un FE par exemple.
Pour le familiariser avec les notions de lumière et les modes M, A, S, j'ai commencé avec un vieux livre de photo pour lui expliquer les concepts. Avec un boitier et objectif en main par lui montrer la pratique: un diaphragme ouvert et fermé, l'ouverture d'un rideau, le miroir...
Les remarques de ch'ti_bobo me rapelle que quand j'ai commencé j'aurais également bien voulu connaître le diaphragme, la vitesse... pour évaluer mes photos.
Par contre le tirage, je n'en ai jamais fait et ne saurait que difficilement le lui apprendre.
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A Jmib55:
- Ton fils n'a que 9 ans. Il lui serait donc assez difficile de comprendre le fonctionnement d'un boîtier reflex manuel: vitesse, diaphragme, stigmomètre. En plus, les boîtiers mécaniques traditionnels sont lourds et pas très ergonomiques.
- Une excellente opportunité pour débuter avec un boîtier reflex joli, convivial, léger, AF et automatique (vu ce jour sur www.oehling.de): le Minolta Dynax 40 QD (dos dateur) équipé d'un petit transstandard de 28-80mm f/ 3,5-5,6. Le tout pour 129,90 euros.
Cordialement,
Photokor.
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Bonjour jmib55,
Un F65 est effectivement un excellent choix ainsi que le F75, mais il y a encore plus léger avec le F55 dont l'AF n'est qu'à 3 points et donc plus simple.
Sinon il y a aussi le très oublié Pronea-S (certes c'est de l'APS mais le format DX est bien le même taille non ?).
Il est full PSAM, AF 1 point, pas trop de programmes tout auto, très bonne mesure de lumière, bon flash interne, bonnes optiques dédiés.
4 avantages du Pronea-S:
1) Encore plus léger que le F55 et tient très bien dans les petites mains.
2) Accepte contrairement au F55 les AF-S.
3) Comme c'est de l'APS, on peut changer la péloch en cours de route et elle est protégée des mauvaises manips.
4) On ne fait que développer le neg, puis on scan d'un coup une péloche de 40 poses (pas de traces de doigts, neg protégé, ...) et on tire comme on veut chez soi ou ailleurs, ce que l'enfant pourra faire +- seul...
2 inconvénients :
1) C'est de l'APS (le format DX et la plus part des APN ont bien le même format non ?)
2) Le N&B 400ISO Kodak (C41) est maintenant difficilement trouvable.
C'est ce que je commence à faire avec mon ainé... ;)
Sinon un truc très sympa avec le D40, c'est l'affichage graphique en mode A du diaphragme dans sa "réalité".
Autant le concept/relation nombre f / ouverture du diaphragme est conceptuellement difficile à saisir pour un novice (j’ai fait l’expérience il y a pas longtemps) autant avec cet affichage cela passe tout de suite et on peut avancer plus facilement / rapidement à la relation avec la profondeur de champ via des essais live…
Enfin un gadget bien pensé et utilie de la part de Nikon.
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On trouve le F65 pour des quenouilles. Un oeil sur sa fiche technique et on court l'acheter.... :lol:
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Cela me fait penser que j'en ai un F65 en trop d'ailleurs ;)
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Même le F80 est une bonne solution, à la fois tout automatique, mise au point et mesure de lumière, et à la fois manuel, tout manuel avec assistance dans le viseur, ou priorité au diaph ou à la vitesse.
C'est moderne (l'un des derniers avant le F6), efficace, didactique et léger. Avec un 50/1,8 l'un des meilleurs objectifs au monde (oui oui) ou avec un petit zoom léger.
:D Et pas cher d'occasion, souvent a peu servi.
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Je suis encore en argentique (parceque déja équipé), mais je vois pas trop ce que ça apporte por l'aprentissage. Apprendre à prendre moins de photos, ok. Mais en même temps on apprends peut-être plus vite en ayant la possibilité de voir les exifs de ce qu'on a pris (quand je débutais j'aurai voulu avoir un dos qui note ouverture et vitesse), et en faisant des essais à différentes ouvertures/vitesses, surex sousex...
Je suis d'accord.
Pour apprendre, il faut s'exercer, prendre des photos en faisant de nombreux essais.
Se limiter en nombre de photos, c'est limiter le nombre d'exercices et d'essais et donc apprendre moins vite. ce n'est que depuis que j'ai mon D70 que j'ai réellement fait des progrès.
C'est ensuite, grâce à la connaissance acquise, que l'on peut augmenter la rapport photos satisfaisantes/nombre de prise de vue et donc prendre moins de photos mais avec un meilleur taux de réussite.
A+
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Boh, je dirai mi chèvre mi chou.
Il faut déclencher pour apprendre et le film coûte cher, c'est vrai. alors un compact numérique "evolué" permettant de choisir vitesse et diaph...
Et puis pour les photos qui valent l'agrandissement (une p'tite ballade dans les gorges du verdon par exemple) un Nikon FM. et papa qui explique la profondeur de champs, l'hyperfocale (cette notion a disparu en même temps que sa sérigraphie sur les objectifs AF, mais elle reste utile de façon empirique pour qui a un peu d'intuition, et de façon pratique pour les possesseurs d'optiques AI) celà permet de se poser la question : ca ne me coute rien puisque je peux effacer un ratage mais la photo vaudrait-elle le coup de dépenser quelque chose de plus ? Un agrandissement en 30 x 40 et la différence entre numérique et argentique saute aux yeux !!!
Question valable pour les enfants mais aussi pour leurs ainés ....
On pourrait decider d'une règle du jeu : tu fais ce que tu veux avec le numérique mais pour montrer les photos de la fête de fin d'année de l'école aux copains (par exemple) tu te sers de l'argentique, on ne fera tirer que celles là. (plus faciles à mettre dans la poche qu'un ordi)
Tout manuel, avec le FM on ne triche pas. avec la méthode F16 et un peu d'expérience - donc de ratés - on se dépatouille toujours plus ou moins. et puis le jour ou on va faire du ski par un temps superbe ou le ciel est cristallin mais où le thermomètre affiche -20° on est content de trouver un boitier qui n'est pas tributaire de ses piles.
Nos ainés ont appris en gachant de la pellicule et n'en sont pas morts. alors osons.
Pascal
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Je suis tout à fait d'accord avec pascal03 ;)
Tant sur la méthode que le procédé : numérique et argentique sont totalement complémentaire alors … Osons (avec nos enfants) !
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Bonjour,
je suis un "argentique inveteré", et possede plusieurs boitiers( du zenit au petri ttl enpassant par canon AE-1 et nikon FE2 et F80s; en famille on est tous interessés par la photo et les deux clans cohabitent:ma femme et mon "grand et mon deuxieme , aiment la "facilitée du numerique, tandis que moi et mon troisieme (18 ans quand même) sommes des argentiques militant; on developpe le N&B nous mêmes et bientôt le labo pour faire les tirages ,va s'ouvrir enfin.
Tout ceci pour dire (j'adore les detour)que c'est mon fils qui a fait sien le FE2 et moi je prefere le F80 (je lorgne deja sur un F90X ou un F100),mais il m'arrive encore de me faire plaisir avec le plus ancien des zenit, on apprend d'instinct les bons reflexes en ouverture, vitesses et sensibilitée, pour equilibrer le tout, de facon a réussir "la photo". C'est peut etre pour ca que les capteurs m'enervent, j'ai l'impression de ne pas pouvoir controler la profondeur de champ et-ou la lumiere, que je desire pour mes photos.Le numerique , certe , reussit des photos, mais qui , à mes yeux, manquent un peux d'âme.
Donc je vous encourage dans la voie de l'argentique, à vous de voir avec quel appareil (perso un genre telemetrique serait preferable, mais si ,grace à son père, il est bien entouré, n'importe quel appareil le ravira.
Cordiales salutations.
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avis perso : FE et 35mm : la base pour apprendre
le FE permet l'automatisme et le semi auto . et le 35mm est la "base" créative selon moi
l'auto focus n'apporte rien (au contraire) dans la création et crée une "pseudo facilité" nuisible à celle ci
pour un gamin ( j'ai commencé la photo avec un semflex 6x6 à 11 ans ) les bases restent essentielles
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Savoir si l'argentique est meilleure outil d'apprentissage de la photographie car il apprend à économiser ou au contraire le numérique est mieux car il permet de faire un nombre plus important d'essai n'est à mon avis pas vraiment le problème. En effet, je ne vois pas en quoi le nombre important de prises de vue que l'on peut faire grâce au numérique serait néfaste à l'acte photographique. Après tout, le travail "artistique" se tourne dans ce cas vers la sélection à postériori et moins vers la prise de vue. Et avec l'un comme l'autre, il faut avoir un "œil" de photographe pour réussir. (De toute façon, à un moment ou à un autre, lassé du tri devant écran, le photographe portera plus d'attention au moment du déclanchement.) Concernant le soit-disant avantage de l'apprentissage par l'argentique, je ne savais pas qu'il fallait économiser les prises de vue pour faire de bonne photo. Cela vaut sûrement pour une certaine philosophie de la pratique de la photographie, mais pas pour la photographie en générale.
Je pense que la crainte que l'on peut avoir envers l'apprentissage par le numérique est en fait liée à une possible perte de l'acte photographique pure, et par là, la disparition des photographies au profit d'œuvres de graphisme assisté par la photographie. En effet le numérique offre des facilités augmentées concernant la modification de l'image de fond (ce qui pourrait entrainer, par exemple, une tendance au déclanchement malgré la présence d'objet gênant dans le cadre, car on est conscient que l'on peut les effacer rapidement et facilement avec un logiciel évolué de retouche.) Or l'image ainsi produite, est-elle encore une photo?
On doit alors se poser la question de qu'est-ce qu'une photographie. On peut suivre, par exemple, la définition de médiadico au sujet de la photographie: "Processus de reproduction d'images sur un matériel sensible, par propagation de l'énergie…" ou celle de l'internaute encyclopédie: " Art et technique qui consiste à fixer des images sur une pellicule par exposition à la lumière". On tire de ces définitions l'existence d'un lien direct entre la lumière, ou la propagation de l'énergie, et le matériel sensible, film, capteur, qui enregistre cette image. A partir de quel degré ou par quelle technique de modification, la photographie ne répond plus à ces contraintes?
Si l'on prend par exemple la modification du contraste. On peut considérer cette retouche comme des variations de la différence d'intensité lumineuse reçue par le matériel sensible. On peut donc considérer que l'image après modification contraste est toujours une photographie car la lumière d'origine est toujours là, elle a juste variée.
Par contre, l'effacement d'un objet est un changement total, le remplacement du signal lumineux par un autre, sans lien entre les deux. L'image ainsi produite ne serait donc plus une photographie. Une généralisation de ce procédé sonnerait donc la mort de la production de photographies (l'hypothèse de cette généralisation, certes peu réaliste, n'est pas complètement ridicule car le fait que l'image finale est très souvent meilleure (car conforme à notre idée de l'image) que la photographie que l'on n'aurait jamais pu réaliser par un procédé "traditionnel" encouragera certainement pas l'auteur à généraliser cette technique).
En résumer, avec une modification du contraste on joue sur la lumière, productrice de la photographie. Le résultat reste donc une photographie. En effacant un objet, on modifie l'objet même de l'image, enlevant la nature de photographie à cette image.
Donc selon moi, peut importe le procédé (numérique/argentique), avant d'apprendre la photographie, on doit être conscient de ce qu'elle est vraiment. Le "débutant" doit être mis en garde que, même si dans un processus de production d'image un appareil photographique entre en jeu, le résultat ne sera pas forcément une photographie.
Pour moi, l'un des uniques avantages de l'argentique dans l'apprentissage de la photographie est de donner moins facilement la possibilité de s'écarter de la photographie comme résultat final.
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Bonjour,
@ Ruffieua :
C'est très joli, ce que tu racontes, et l'on peut partager ton avis mais il me semble que tu oublies une chose assez importante : l'apprenti en question a 9 ans, et que les considérations philosophiques de l'image (numérique ou/et argentique) lui échappent peut-être un peu.
Je pense que, du moment qu'il prend plaisir à regarder dans le viseur d'un appareil photo, c'est le principal. À ses parents de choisir. L'apprentissage proprement dit viendra après (ou d'ailleurs ne viendra pas)…
Amitié et bonne chance au petit nouveau ! :)
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Je pense au contraire que l'éducation à l'image ou à l'épistémologie de la photographie peut et devrait se faire dès le plus jeune âge. Il suffit d'adapter le discours à son âge et ses capacités (et ça c'est le rôle des parents). D'ailleurs comment pourrait-il avoir un réel plaisir à la photographie s'il ne se questionne pas sur le pourquoi?
Ce n'est pas parce qu'on est jeune qu'on est con et inapte à toute réflexion!
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Et l'on perd de vue la question du départ ;)
Si je puis apporter mon humble expérience, j'ai commencé avec un Olympus 35RC avec le mode automatique bloqué ce qui m'a valu les explications de ma chère mère très calée sur les rapport ouverture/temps d'expo (la photo est dans les gènes). Ce qui m'a le plus appris et qui m'enseignent encore sont les essais ratés. Pour contrer le découragement, le numérique (petit compacte) puis le développement se sont chargés de m'apprendre le cadrage (numérique) et la magie de la photographie (labo).
Je ne me suis offert que cette année un réflex (F801) ce qui a encore augmenté mon champ d'action et j'ai réparé le mode automatique du 35RC et je n'utilise le numérique que pour mes traveaux estudiantins (élève architecte).
A mon sens, la photo est une affaire de famille, j'ai donc repris une très vielle relique pour commencer ; rien de tel que la relation avec les anciens!
très cordialement et au futur photographe,
Harfang l. S.
N.B.: initier les jeunes aux questions de l'essence de quelquechose ici photographie est importante.
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bonjour,
si tu es interresse, je connais ds un magasin d'occase, deux F50 à vendre pour 39€ pièce.
je ne les ai pas fait sorti de la vitrine, mais ils ont l'air ok.
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Je pense au contraire que l'éducation à l'image ou à l'épistémologie de la photographie peut et devrait se faire dès le plus jeune âge. Il suffit d'adapter le discours à son âge et ses capacités (et ça c'est le rôle des parents). D'ailleurs comment pourrait-il avoir un réel plaisir à la photographie s'il ne se questionne pas sur le pourquoi?
Ce n'est pas parce qu'on est jeune qu'on est con et inapte à toute réflexion!
Je n'ai en aucun cas voulu dire qu'on était con parce qu'on est jeune ! Pour qui me prends-tu ?
Mais permets-moi de te dire que l'épistémologie de la photo, à 9 ans, on s'en tape, on s'en fiche, on s'en fout. De même à 59 ans ! Des mots creux qui font très bien dans les revues soi-disant spécialisées et propres à impressionner le gogo, mais qui me font doucement rigoler… ! Avant de faire de la philosophie à 0,5 € le litre, il convient d'abord de penser au plaisir qu'un enfant a à prendre des photos : le rôle des parents est justement de l'encourager, et non de le dégoûter par des imbécillités qu'il est incapable de comprendre.
Et j'ose supposer n'être pas le seul de cet avis, faute de quoi, c'est à désespérer…
Salut ! ;)
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Bonjour,
...Que tout ça est bel et beau.
Wouaff, wouaff !
P.S.: Cf.: "Comment Pantagruel rencontra un Limosin qui contrefaisoit le langaige Françoys." Rabelais (Pantagruel.)
Cordialement.
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Mais il est drôlement "culturé" notre ami Bertrand ! ! !
C'est vrai qu'il n'est pas tout seul; il est toujours aidé par son ami Nikon F.
Ca aide de réfléchir à deux, ah, ah ,ah...