Nikon Passion : Communauté Photo
Apprendre la photo - pratiquer => Apprendre la photo : quel appareil photo choisir ? => Discussion démarrée par: lebis le 29 Juin, 2018, 07:11:50 am
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Bonjour
J ai toujours photographié en jpeg.
Je réfléchi à peut être passer au raw qu' en pensez vous
Sirester en jpeg pourquoi et passer en raw pourquoi
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Bonjour,
Quelques pistes
https://www.nikonpassion.com/raw-vs-jpg-comment-regler-reflex-nikon/
https://www.nikonpassion.com/jpg-natif-pourquoi-en-plus-du-raw-2-types-de-rendus-jpg/
Après à toi de décider, mais qui dit RAW di traitement ...
Pierre
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Pour faire de beaux JPEG natifs, le boitier doit être réglé correctement avant la prise de vue.
Ce réglage se fait à l'aveugle et influe irrémédiablement le fichier final.
Ce réglage est à adapter à chaque changement de conditions de prise de vues.
En cas d'erreur, la marge de correction est mince.
Le JPEG direct intéresse les reporters travaillant en flux tendu; cela leur permet d'envoyer les photo en temps réel à leur rédaction.
Avec le RAW, on peut laisser les paramètres de traitement d'image par défaut.
Ça permet de concentrer sur la prise de vue sans perpétuellement aller modifier les réglages de rendu.
Les corrections se font a posteriori, sont non-destructives et on visualise le résultat en temps réel.
La qualité finale d'un RAW post-traité est bien supérieure à celle d'un JPEG corrigé.
Bref, que des avantages, sauf le temps à consacrer à la post-production.
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Les deux !
Je confirme ce qu'a dit Pr Blurp.
Et j'ajoute que, dans un premier temps, tu peux shooter dans les deux formats. Et garder les Raw sous le coude pour les retoucher plus tard, ou en cas de tirage plus grand.
L'autre inconvénient du Raw cependant est le stockage. Il nécessite des disques durs conséquents.
Je shootais dans les deux formats pendant un temps, mais, finalement je ne me servais des jpeg que pour choisir les images. Et finalement, je ne le fais plus, et ils m'encombrent plus qu'autre chose. Sachant que tu peux toujours produire des Jpeg a partir des Raw.
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Pour moi c'est le RAW (éventuellement RAW + JPEG). Je regrette de ne pas avoir fait ce choix dès le départ. Mes photos de 2009 et 2010 avec le Sony A300 étaient faites en JPEG uniquement. J'aurais voulu corriger certaines choses comme un ciel un peu cramé, mais c'est impossible en JPEG.
Donc, même si aujourd'hui tu hésite, je te conseille le RAW + JPEG pour le jour où tu travailleras uniquement en RAW.
Avec les fichiers RAW, il faut passer un peu de temps pour les développer. Avec le temps, je deviens un peu plus exigeant et je découvre les possibilités de traitement du fichier RAW. Mon compact Fuji X10 fait aussi du RAW. Le Fuji X30 de ma femme également. Je les ai choisi parce que le format RAW était proposé (il y a d'autres modèles de compacts experts qui existent et qui proposent le format RAW).
Si tu n'es pas trop exigeant, que le ciel cramé, ou la robe de mariée cramée t'importe peu... alors tu peux rester en JPEG toute ta vie.
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Deux avantages majeurs à travailler en RAW :
- pouvoir modifier à posteriori sans aucune dégradation la balance des blancs
- pouvoir récupérer les hautes ou les basses lumières avec beaucoup plus de latitude
Moi aussi, je regrette de ne pas avoir utilisé d'emblée le RAW. J'ai un certain nombre de bonnes images anciennes que j'aimerais pouvoir retravailler.
Avec certains boitiers comme les Fuji qui font de très bons JPEG (certainement pas Nikon), l'intérêt de faire du RAW est un peu moindre. Reste le problème de la récupération des hautes lumières.
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Merci pour vos avis
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Je profite de ton post pour poser qq questions.
Les raw sont des fichiers brutes mais jusqu'à quel point ?? Quel réglage du boîtier les affecte ?
La balance des blancs de joue pas, mais est ce que la réduction du bruit ou le d lightinf influence les raw ??
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Seule la réduction de bruit longue pose affecte le NEF.
Dans certains cas, le Dlighting altère l'exposition.
La BdB est enregistrée comme métadonnées mais non appliquée.
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C'est bien ce qu'il me semblait.
Donc toute les corrections du boîtier accentuation, saturation etc... ne serve à rien en fait ?!!!
La différence ne serait que sur l'écran ??
Je shoot uniquement en raw donc ce n'est pas le jepg modifier que je regarde sur mon écran de contrôle pourtant.
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Sur l'écran tu vois un Jpeg qui correspond aux paramètres applicables au NEF si tu utilises un logiciel Nikon ou si tu shoot en Jpeg... En résumé tu ne vois jamais à l'écran le ficher NEF brut.
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Ok ben c bon pour moi c'est ce que je pensais.
Pour rebondir sur le sujet c pour ça que je ne fais que du raw. À la prise de vue je m'occupe juste de l'exposition et composition, et le reste balance des blanc, accentuation saturation je fais ca a tête reposer sur mon pc. Mieux vaut toujours avoir les raw sous la main au cas où.
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Bonjour
2 remarques :
1-pour les presets inclus dans les NEF, j'ai l'impression que DXO et Camera Raw récupèrent la balance des blancs;
2-contre de nombreuses recommandations j'utilise souvent le D lighting automatique, qui sous expose automatiquement en cas de fort contraste : les ombres sont "moins pires" que les zones "fromage blanc" ; en diapo on recommandait d'éviter de surexposer, car l'oeil regarde en priorité les zones claires de l'image.
Pour avis.
Merci
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Donc toute les corrections du boîtier accentuation, saturation etc... ne serve à rien en fait ?!!!
Les paramètres de rendu servent à ceux qui utilisent le JPEG direct.
Je shoot uniquement en raw donc ce n'est pas le jpeg modifié que je regarde sur mon écran de contrôle pourtant.
Le fichier NEF intègre, en plus des données RAW et des métadonnées photographiques usuelles, une image JPEG, qui elle (me semble-t-il) est affectée par les réglages de rendu. Cette image n'est utilisé qu'à des fins de prévisualisation et n'entre pas dans le processus de développement final.
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Bonjour
2 remarques :
1-pour les presets inclus dans les NEF, j'ai l'impression que DXO et Camera Raw récupèrent la balance des blancs;
2-contre de nombreuses recommandations j'utilise souvent le D lighting automatique, qui sous expose automatiquement en cas de fort contraste : les ombres sont "moins pires" que les zones "fromage blanc" ; en diapo on recommandait d'éviter de surexposer, car l'oeil regarde en priorité les zones claires de l'image.
Pour avis.
Merci
Alors là je suis interrogatif... je prenais plutôt d habitude la règle de l'expo à droite car plus de détail disponible dans les hautes lumiere. Le max de pixel à droite sans cramer.
Que vaut il mieux alors histogramme à droite ou à gauche ???
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A droite ne numerique si tu fais du RAW car on récupère plus facilement des hautes lumières que des basses lumières.
En diapo on évite de sur-exposer
En N&B on pose pour les ombres. ( sauf en photo de nuit)
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En argentique, avec une dynamique limitée à 6 EV le plus souvent (diapos) j'avais appris qu'il fallait idéalement régler l'exposition afin de conserver le détail des hautes lumières, hormis les reflets spéculaires, étant donné que celles-ci étaient prioritairement perçues par l’œil ; il me semble que la défunte revue Photologie abordait le sujet en détail. Les anciens systèmes de mesure multi-zone écrêtaient dès IL 19 (si je me souviens bien), afin de ne pas prendre en compte ces zones brûlées sans intérêt pour le rendu photographique.
La dynamique actuelle est devenue énorme, mais je continue d'éliminer les vues surexposées dont certaines plages importantes sont irrécupérables (notamment sur la peau).
A contre-courant, je n'ai pas tout compris.
Cdt
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Autrefois, en négatif (NB et couleur), j'avais appris à ne pas trop sous exposer, en raison de :
1-dynamique un peu plus large que les diapos : 7 EV, voire un poil de plus
2-augmentation du bruit dans les zones peu exposées.
Si mes souvenirs sont bons.
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Je te rassure pour l'argentique on vient de dire la même chose... Pour conclure en numérique il faut faire comme en négatif couleur, sur-eposer un peu... mais pas trop non plus.
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A voir avec le mode de mesure.
En spot sur les hautes lumières, on peut ajouter jusqu'à 2 IL de compensation pour une expo "à droite".
En matricielle, je suis quasi systématiquement à -0.7 IL pour éviter de trop brûler les ciels laiteux.
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Moi jfais confiance à la mesure matricielle (y compris sans sous-exp), elle se plante bien moins souvent que moi. Et en post-prod, je fais confiance à mon histogramme, qui a priori a été réglé à la prise de vue pour optimiser la DR.