Nikon Passion : Communauté Photo
Choisir votre matériel Photo => Nikon argentique => Discussion démarrée par: christal2 le 22 Sep, 2015, 15:50:38 pm
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Bonjour,
Je vais utiliser un boitier argentique ne possédant aucun système de mesure de l'exposition et n'ai pas l'intention de le seconder par
un boiter avec système de mesure. Les solutions possibles seront probablement entre la règle du f16 (*) , et les cellules à main.
Ce serait pour des photos en extérieur principalement.
J'essaie de voir quels peuvent être les différents avantages/inconvénients, tout en sachant que cela dépend également du budget,
de l'utilisation réelle, du type de photo, des conditions de prise de vue, avec ou sans flash...etc
En commençant par la plus abordable et en allant vers des modèles plus récents :
- au sélénium, mais peu réactive en basse lumière et pouvant avoir mal vieillie ( qu'en est il des modèles digital au fait ?...)
- ou avec pile au mercure, mais remplacée par une pile de voltage équivalent ...avec ou sans ajout d'une diode
- à aiguille comme la Sekonic L 208 Twinmate
- digitale : Gossen Digisix2 ou Digiflash2
- digitale : Sekonic L-308 mais priorité à la vitesse d'obturation, ou Mode EV mais pas priorité Ouverture
- digitale : les autres modèles haut de gamme
Est-ce qu'une au sélénium, même en mesure incidente, peut très ben convenir en extérieur ?
Cette règle du f16, c'est un peu comme l'argentique. Ceux qui l’utilisent ne sont pas forcément d'une tranche d'age bien définie. :)
[Edit]mais priorité à la vitesse d'obturation ( pour la Sekonic L-308 )
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Essaye une appli Posemètre sur smartphone, c'est gratuit ou pas cher et ça fonctionne suffisamment bien pour ça :)
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les digisix et digiflash peuvent se fixer sur le sabot de flash avec un accessoire, ça peut être un plus pour ce choix là sinon à voir si tu fais du studio à choisir un autre modèle, digipro ou sixtomat...
j'ai ouvert il y a peu un fil au sujet des flashmètres.... http://forum.nikonpassion.com/index.php?topic=122867.0
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Marche bien la règle du F16. La Lunasix, j'ai jamais compris par contre :/
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Essaye une appli Posemètre sur smartphone, c'est gratuit ou pas cher et ça fonctionne suffisamment bien pour ça :)
Merci pour l'idée, que je n'ai pas abordée ici. Mais avec mon abonnement 0 euro, mon smartphone Android ne me sert qu'à téléphoner.
Dommage, car je n'ai pas pu installer LightMeter Free que j'avais repéré par exemple pour Android.
Je n'ai aucune application en plus des celles d'origine. mais cela n'est pas grave, je l'ai pris pour téléphoner.
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Bonjour,
Certes des millions de photographes travaillaient, et certains travaillent encore, sans cellule : c'est encore tout çà fait envisageable et ne nécessite qu'un peu d'attention et de mémoire visuelle, donc un poil de volonté et de constance, chose parfois fort rare chez nos jeunes contemporains. Néanmoins certaines "règles" mémo-techniques simples peuvent y aider, "Règle du f 16", "Règle du ceci", "du cela", etc.
Autrement utilisez une "bonne vieille" cellule à main, c'est un outil extrêmement fiable, sous réserve de savoir bien "prendre la lumière", là aussi il faut savoir mettre en phase deux neurones, exercice aléatoire chez quelques adeptes du "j'pas'l'temps".
Les cellules à sélénium sont encore très efficaces, mais capricieuses comme des "vieilles Ladies", il faut leur accorder un peu de courtoisie, donc à ne confier qu'à des "galants et prévenants jeunes hommes", les Weston master V en sont un bon exemple.
Restes alors les plus ou moins "modernes" : elles sont nombreuses, dans tout ça Gossen est une marque d'un très grande fiabilité, matériel solide et professionnel (Par exemple ma Gossen Lunasix 3 à près de de 45 ans de mesures, eh bien toujours aussi remarquablement exacte). Allez donc faire un tour sur leur site : http://www.gossen-photo.de/english/. Elles peuvent naturellement s'acheter d'occasion mais il convient d'être vigilent car certains "Attila du boîtier" sont capables d'esquinter l'inesquintable.
De toute les façons même avec la meilleure cellule de l'univers, si vous ne savez pas prendre une lumière n'accusez pas la cellule, collez-vous donc au travail, apprenez lentement et studieusement, au bout d'une année de pratique vous devriez "domestiquer le monstre"... et en rire.
En cas de "tragédies psychiques" il reste le "boîtier-tout-automatique", mais réservé pour les cas désespérés sur avis médical.
...Et si rien ne fonctionne, eh bien ne perdez pas espoir, si si, essayez le macramé.
Cordialement.
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Mais avec mon abonnement 0 euro, mon smartphone Android ne me sert qu'à téléphoner.
Tu n'as pas besoin d'abonnement pour utiliser les applis comme celles-ci, il n' y a pas d'échange de données.
Pour l'installation tu passes par le wifi chez toi et hop :)
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Vu le prix des boîtiers argentiques d'occasion ... Pourquoi ne pas en choisir plutôt un avec mesure d'exposition intégrée ?
Il est plus que probable que le différentiel de prix soit inférieur au coût d'un posemètre externe neuf.
Sans parler du confort d'utilisation procuré par un boîtier plus récent moins vieux, et du choix d'objectifs, d'occasion aussi, qui sera plus important (utile seulement si c'est un reflex), et donc probablement moins cher que des matériels anciens mais devenant rares ou classés "collector".
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Vu le prix des boîtiers argentiques d'occasion ... Pourquoi ne pas en choisir plutôt un avec mesure d'exposition intégrée ?
Il est plus que probable que le différentiel de prix soit inférieur au coût d'un posemètre externe neuf.
Sans parler du confort d'utilisation procuré par un boîtier plus récent moins vieux, et du choix d'objectifs, d'occasion aussi, qui sera plus important (utile seulement si c'est un reflex), et donc probablement moins cher que des matériels anciens mais devenant rares ou classés "collector".
Bonjour,
Pour mémoire c'est moi qui ai fait le rapprochement entre "règle du f16" et "vieux croûton" (j'en suis un)...
J'avoue que je comprends mal cette discussion qui me semble un tantinet surréaliste!
Je comprends que certains soient tentés par l'argentique ou même en soient des défenseurs acharnés. C'est leur droit et leur choix n'est pas critiquable.
Qu'on veuille faire des essais avec de vieux appareils, pourquoi pas, mais de là à vouloir faire l'achat d'une cellule externe pour "s'en servir" me laisse pantois!
Petite histoire perso :
Quand j'ai pu m'offrir un peu après 1970 un "Fujica" avec trois diodes au bord du viseur pour indiquer l'exposition correcte j'ai eu l'impression de passer du Solex à la Harley-Davidson.
Quand 15 ou 20 ans plus tard j'ai pu avoir un Nikon 801S (qui en francs/euros constants devait valoir davantage qu'un D7200 actuel. Actuellement, d'occase il vaut quelques clopinettes), je roulais en Rolls-Royce!
Alors , ami Christal2, si tu dois acheter une cellule qui doit te servir pour autre chose, vas-y, fonce! (A mon sens ne pas oublier qu'elle puisse faire flashmètre :) )
Si elle ne doit te servir qu'à utiliser le vieil appareil, il faut te fier à la "règle du f16" : après tout les appareils photo ont été inventés avant les cellules.
Ce n'est évidemment qu'un avis très personnel et je te reconnais le droit de n'en tenir strictement aucun compte :D
Cordialement.
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Une fois de plus, il faut répéter que tous ces objets ne sont que des outils. La première des choses à faire est donc de définir l'utilisation.
Si c'est pour faire des images de "touriste" la règle du f16 suffira, Si c'est pour des images "léchées", une cellule, à main ou incorporée, s'impose.
Et si comme le mentionne GC34, on envisage par la suite un travail plus poussé, une cellule flashmètre ne serait pas à négliger.
Une fois les considérations techniques établies, il faudra faire avec les ressources pécunières...
Une cellule à main se trouve d'occasion à partir de 10€ et dans les 50€ pour une haut de gamme, et un flashmètre mixte à partir de 100/120€.
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Et si il s'agit d'acquérir cet outil (posemètre) il ne faut pas perdre de vue une fonction essentielle que ne remplit pas la cellule incorporée à un boitier: la mesure de la lumière incidente. Bien entendu quitte à acquérir un posemètre il me semblerait dommage qu'il ne comporte pas la fonction flashmètre.
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Avant d'acheter un posemètre, la question qu'il faut se poser, c'est pour quoi faire.
Il y a fort longtemps, j'avais avec mon Lubitel 2 la Leningrad je sais plus combien : une cellule au sélénium qui marchait presque très bien (en fait très bien quand on restait dans les choses qu'elle savait faire…).
Aujourd'hui, les temps ont changé :
- une Leningrad ou n'importe quelle cellule au sélénium n'a aucun intérêt (sauf dans une vitrine, mais c'est pas la question) : ça ne fonctionne correctement qu'en lumière incidente quand il y a pas mal de lumière… (bref quand la règle du F/16 marche sans se poser de question). Le smartphone est de loin la meilleure solution (Loveinpix, je crois, propose même l'indispensable sphère d'intégration)
- il faut oublier les cellules au CdS, pas qu'elle ne soient pas précises, mais qu'elles nécessitent des piles au mercure introuvables (et très polluantes), qu'elles ont un effet mémoire et sont relativement fragiles coté galvanomètre… même si les Lunasix sont de très bonnes cellules (à condition d'être soigneux), mais ce n'est pas ce que j'achèterais aujourdhui…
- ma préférence va aujourd'hui (voir archives) pour la Sekonic L308-S ou les modèles "d'entrée de gamme" de Minolta (Autometer III F et ultérieurs) en occasion ou Kenko (qui a repris l'activité instruments de mesure de Minolta) en neuf : en plus d'être précises et rapide d'utilisation, elles possèdes un flashmètre de base largement suffisant la plupart du temps.
Si ton budget le permet, pourquoi pas un Flashmeter IV ou V que l'on trouve à partir de 200 € en occasion, et en bon état, sur le net ?
A+
Laurent Galmiche
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Depuis environ 40 ans, tous les boîtiers reflex ont un posemètre intégré.
On peut certes, par vocation ou par opportunité, choisir d’utiliser un reflex de 40 ans+ sans posemètre. Mais la logique voudrait alors qu'on assume ce choix totalement. Et donc sans posemètre, ni interne ni externe. Sous peine d'anachronisme.
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dans le temps Agfa produisait un film N&B très tolérant aux écarts d'exposition, le "vario xl". Pas mal de grain et peu de contraste mais il pouvait donner des images intéressantes. Je ne sais pas si ça existe toujours.
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Depuis environ 40 ans, tous les boîtiers reflex ont un posemètre intégré.
On peut certes, par vocation ou par opportunité, choisir d’utiliser un reflex de 40 ans+ sans posemètre.
Il y a aussi des photographes actuels qui n'utilisent pas la cellule intégrée, préférant utiliser une cellule externe pour travailler en mesure incidente... Je crois me rappeler d'une vidéo ou Natchwey travaillait ainsi avec ses EOS 1DS...
Mais la logique voudrait alors qu'on assume ce choix totalement. Et donc sans posemètre, ni interne ni externe. Sous peine d'anachronisme.
je ne suis pas d'accord, pour plusieurs raisons :
Les boîtiers sans cellule, pour la plupart, datent surtout à l'époque de l'usage exclusif du néga N&B : avec l'a démocratisation de la diapo à la fin des années 1960 (bcp + exigeante en matière d'expo) on a vu fleurir les cellules y compris sur les compacts de l'époque, car la diapo impose une expo précise. Sur le matos pro on avait souvent le choix de ne pas avoir de cellule ou d'en monter une (via un prisme spécifique comme sur les Nikon F ou les Leicameter sur les M). Donc il y a bien souvent des solutions "d'époque" qui permettent d'utiliser une cellule, même si côté performances il y a souvent eu mieux depuis (quand ça fonctionne encore). Et là je ne blâme pas ceux qui veulent associer les qualités d'un boîtier ancien et les avantages d'une cellule précise (=moderne).
Sinon, sur la question de l'anachronisme... Quand je sors mon M3 je n'hésite pas à utiliser un Leicameter d'époque mais aussi une Lunasix, parce que le Leicameter c'est joli mais côté efficacité, il y a mieux. J'aime beaucoup mon M3 mais je l'aime encore plus quand les photos sont bien exposées. Et pouvoir utiliser une cellule même moderne avec un boîtier ancien est souvent ce qui leur permet de ne pas rester prisonniers des placards... Et c'est parce que les résultats sont bons qu'on a envie de ressortir le matos, fut-ce avec un peu d'aide "moderne", car le plaisir seul ne suffit pas.
Buzzz
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Je partage l'avis de Buzz ( je mes suis acheté une cellule d'ailleurs) ceux qui veulent se mettre au MF par exemple ont souvent des boitiers sans cellule intégré. Et puis pour la mesure incidente c'est bien.
A chacun de voir ses besoins, ses pratiques...
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Buzz, il n'y a rien d'anachronique à utiliser une Lunasix avec un M3, beaucoup de gens le faisaient à lépoque.
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Buzz, il n'y a rien d'anachronique à utiliser une Lunasix avec un M3, beaucoup de gens le faisaient à lépoque.
Certes mais ma Lunasix 3 doit dater d'une période située entre le milieu des années 1970 et les années 1980, alors que mon M3 affiche au moins 20 ans de plus (1957)... Mais effectivement cette combinaison n'a rien d'extraordinaire et montre bien que de tous temps on a jamais hésité à utiliser du matos ancien de qualité et à la compléter par des outils plus récents pour en tirer le meilleur.
utiliser uniquement du matériel de la même époque, ok pour l'exercice de style, mais perso la combinaison M3 + Zeiss 50/1.5 Sonnar + Lunasix III est une association tout à fait pertinente en termes de résultats. Le M6 est certes plus facile à utiliser (quoique) mais le M3 avec sa construction hors pair et son magnifique viseur est vraiment dans une autre catégorie, alors tant pis pour les anachronismes : je fais de la photo avec, pas de l'archéologie.
Buzzz
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Juste pour info, pour ceux intéressés, la première Lunasix est apparue en 1960, bientôt suivie de la Lunasix II.
En 1966 ce fut la Lunasix 3 dans son boîtier gris, suivie d'une évolution portant le même nom, mais avec la partie supérieure gris clair, et noir anthracite pour l'inférieure.
En 1992 apparaît une toute nouvelle version, la Lunasix 3S, dont la fabrication cessera au début du millénaire, au profit des posémètres numériques.
Voilà, c'était l'histoire des Lunasix! ;)
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utiliser uniquement du matériel de la même époque, ok pour l'exercice de style, mais perso la combinaison M3 + Zeiss 50/1.5 Sonnar + Lunasix III est une association tout à fait pertinente en termes de résultats. Le M6 est certes plus facile à utiliser (quoique) mais le M3 avec sa construction hors pair et son magnifique viseur est vraiment dans une autre catégorie, alors tant pis pour les anachronismes : je fais de la photo avec, pas de l'archéologie.
Bien entendu. Il n'y a aucune raison objective de se priver de ce que la technologie disponible en 2015 (ou avant) offre en facilité et confort d’utilisation.
Sauf pour respecter une approche d'esthète / archéologue de l'image.
Mais vu le prix dérisoire d'un boîtier argentique aujourd'hui, je me demande où est l'intérêt de choisir un boîtier sans mesure intégrée d’exposition et d'y ajouter le prix d'une cellule alors que, pour un investissement voisin, on peut avoir un boîtier plus récent avec mesure d'expo.
La motivation ne peut pas être économique, mais plutôt à chercher dans le parti-pris esthétique d'utiliser un vieux boîtier.
Il est vrai aussi que le raisonnement économique peut être différent si on parle de moyen-formats ou de Leica...
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Mais vu le prix dérisoire d'un boîtier argentique aujourd'hui, je me demande où est l'intérêt de choisir un boîtier sans mesure intégrée d’exposition et d'y ajouter le prix d'une cellule alors que, pour un investissement voisin, on peut avoir un boîtier plus récent avec mesure d'expo.
Ce n'est pas uniquement une question de tarif. Le M3, pour ne parler que de lui est inégalé chez Leica : aucun autre modèle de la marque ne dispose d'un tel viseur. Et le niveau de qualité de fabrication de ce boîtier est superlatif : même chez Leica ils n'en font plus des comme ça depuis belle lurette (premières séries de M4 il me semble). Je possède également un M6 TTL plus moderne et plus pratique, mais au niveau confort d'utilisation (hors mesure de lumière) et plaisir, c'est comparer un D4s avec un D610.
Buzzz
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Bonjour à vous Tous,
Je passe par là ce soir, histoire de voir ce qui se dit actuellement dans le domaine comme celui-ci. Bien m'en a pris de ne pas me coucher trop tôt.
J'ai lu avec grand intérêt les exposés de vous tous, et j'avoue que "vous les experts" m'ont appris des choses bien intéressantes.
En fait voilà mon cas =|
_ j'ai envie de sortir un peu du numérique (D300s), j'avais donc acheté quelques Nikon argentique divers au fil du temps, maintenant ils constituent une partie de ma petite collection, après avoir essayé les F70, F90x, F100 en dernier.
_ suite à une opportunité j'ai acheté récemment un "étranger" SL66, eh bien ce MF j'ai envie de le découvrir, mais pour cela il me "faudrait" un posemètre.
Je sais cela ressemble un peu à une démarche désordonnée, mais j'espère que cela se soigne.
En réalité je ne connais pas grand chose au N&B, mes souvenirs d'il y a 45 ans avec un Icarex 35 CS (Zeiss Ikon) sont partis.
Enfin ma question: quelle posemètre faudrait il retenir pour ce boitier 6x6, en occasion ou en neuf? ne sachant pas encore si je m'oriente vers des photos studio ou extérieures ou voir les deux.
Question subsidiaire: comment s'y prendre avec les lumières incidentes dont vous parlez? sujet déjà traité sur le Forum?
Bien cordialement,
Mike
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Pour imprimer la surface sensible, film ou capteur, la lumière suit un double parcours : 1°) de la source, soleil ou lumière artificielle, vers le sujet, et ensuite 2°) du sujet vers la surface sensible.
La lumière dite incidente se mesure à proximité immédiate du sujet, quasi-obligatoirement avec une cellule à main, qui est dirigée vers l'objectif de l'appareil photo.
La lumière dite réfléchie (par le sujet vers l'appareil-photo) se mesure soit par la cellule intégrée à l'appareil, soit par une cellule à main dirigée vers le sujet et positionnée à proximité immédiate de l'axe optique.
La mesure incidente est réputée plus exacte, dans la mesure où elle fait abstraction de la plus ou moins grande capacité du sujet à réfléchir la lumière. Exemple : la mariée en blanc et le marié en noir donneront la même mesure incidente, mais pas la même mesure réfléchie.
Quel que soit le format de la surface sensible, et sa technologie (6x6 ou 24x36, ou plus grand, ou plus petit, carré ou rectangulaire, film argentique ou capteur numérique), la mesure de l'exposition sera identique. Sous réserve, pour la mesure réfléchie, des différents modes de mesure, matricielle, pondérée centrale ou spot, qui donnent des résultats différents - ils sont là pour ça... :D .
On peut aussi se passer de posemètre et appliquer la "règle du f/16", ou utiliser un pifomètre, ou tout autre moyen similaire à disposition :D. Tant qu'on utilise des films n&B, la latitude d'exposition du film et un tirage approprié permettent de compenser les petites erreurs d'appréciation.
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Bonjour,
Un grand merci à Weepbitterly de ces informations concises, je progresse.
Hier j'ai acheté une Gossen Variosix à tout petit prix, l'opportunité s'était présentée. Lors de l'achat je l'ai comparée avec la mesure d'un Nikon F4, elles parait bien précise et son état cosmétique est proche du neuf.
Maintenant je vais me renseigner sur les pellicules... et parcourir de façon assidue les exposés réalisés sur vos travaux et expériences.
Merci à vous tous,
Mike