Je n'ai jamais aimé les zooms ; on se demande bien pourquoi, si tant est que cela intéresse quelqu'un, à part déjà un point important, qui est que j'attache une très grande importance au poids et à l'encombrement (et pendant qu'on y est au prix ; si on cède au chant des sirènes, dans notre chère activité - y compris de celles qui sont dans notre propre tête, on n'arrête pas).
J'ai eu un 24-105 (je reconnais que ce n'est pas un foudre de guerre), mais je ne m'en rappelle même pas (liquidé très vite, entre autres pour le 35 DX).
En argentique, 40 pancake et 135.
Il n'y a qu'un handicap à mes yeux, c'est lorsqu'on se trouve en situation de "reportage" (je n'en fais pas - justement pas équipé pour, sans parler de la compétence ; mais il m'arrive de faire des photos d'évènements pour rendre service) : là, c'est nettement pas très pratique (bien que tout tienne dans un tout petit sac portable toute la journée sans problème). On est là à changer d'objo dans tous les coins en faisant gaffe à la poussière, pendant que les autres prennent des tendinites à force de zoomer.
Et encore, le handicap n'est pas certain, à part le côté pratique (et le fait qu'on en loupe quelques unes, parce qu'on a vraiment pas la bonne focale - il faut anticiper, mais on ne peut pas toujours) : le fait d'être en focale fixe, en quelque sorte par séquences (on ne change pas entre chaque photo), stimule aussi la créativité (on est obligé de se creuser un peu la cervelle, et surtout de bouger, faute de zooming possible - cela dit je n'exclus pas non plus qu'on se la creuse pour zoomer, ni même qu'on bouge
- ouf
!).
Voilà (ah, et puis pour ma part je n'apprécie pas trop le paysage à l'UGA avec rocher en gros plan - sans parler du HDR, alors mollo sur le 20
).
Salut à tous (et merci pour toutes ces lectures, tous ces apports).