Un objectif doit être défini par sa distance focale et son ouverture relative ;
Autrement dit cela ramène exactement à la question que je pose.
Et si cette normalisation existait vraiment, on en serait pas à définir la longueur focale d'un objectif APSC en équivalence de 24x36
Le principe de la norme est de reposer sur une unité de référence unique (exemple le mètre étalon), et tout s'exprime par rapport à cette unité.
C'est bien cela qu'on a abandonné depuis des lustres les systèmes de mesure subjectifs comme la coudée, la lieue, etc, qui bien que portant le même nom n'avaient pas les même valeurs selon les endroits.
L'échelle des diaphragmes suit une échelle normalisée (échelle géométrique de raison √2) ;
Ah oui, ça tout le monde le sait (ou croit le savoir), sauf que je suis persuadé qu'il existe des personnes qui pensent qu'une ouverture 2.8 sur un objectif de 50mm ayant un diamètre de lentille externe de 67mm, laisse passer autant de lumière qu'un objectif de 200mm ayant un diamètre de lentille externe de 88mm.
Alors "normalisé" d'une certaine manière, mais pas du tout significatif, et finalement trompeur, puisque cette valeur de l'ouverture, n'est pas une valeur absolue, mais relative qui plus est spécifiquement et intrinsèquement à chaque objectif.
La sensibilité des films et des capteurs est normalisée…
Pour ce qui est de la sensibilité des films, aujourd'hui c'est sans doute anecdotique.
Par contre concernant la normalisation de la sensibilité des capteurs, j'ai de très très gros doutes. En effet, si c'était vraiment le cas, on ne devrait alors pas observer de différence entre les mesures faites par le capteur et celles que l'on fait soit avec un posemètre soit avec un gris 18% (normalisé lui!)...[voir cette
video]