@ tous, merci
Alors, pour les contraintes, il faut déjà trouver l'avion et l'opportunité
Ici, c'est l'AAP de Morlaix. J'en fait partie et je connais plusieurs membres depuis quelques années, ce qui simplifie un peu les contacts.
Pour le matos, rien de vraiment spécifique : le 24-120 vr comme objectif (compact, polyvalent, léger) et le D850 (mais à peu près n'importe quel autre boitier conviendrait aussi, pas besoin d'une grosse rafale ou d'un af sous stéroïdes.
C'est plus l’environnement qui peut poser des problèmes. Un CAP 10, c'est pas très grand : une fois arnaché c'est pas simple de se tourner, en plus on est du mauvais côté (place droite), ce qui nécessite de se placer en biais sur le siège et de se tortiller pour viser tout en tordant le poignet pour appuyer sur le déclencheur (gros avantage pour un hybride sur ce point).
La verrière donne une bonne visibilité mais est un nid à reflets. Le conseil habituel est de s'habiller en noir et de mettre des gants. J'ai pris une autre option : un pare soleil souple que je plaque contre le plexi.
Pour le reste, briefing obligatoire avec les 2 pilotes pour déterminer comment va se dérouler le vol, qui prend le lead, et à quel moment. C'est indispensable car l'improvisation ne rime pas avec sécurité.
Par exemple, je voulais aussi obtenir une photo en plongée 3/4 arrière du Paris. C'est moins courant comme vue et avec la mer en arrière plan, ça rend bien.
Et puis après, yapluka profiter et déclencher