L'ouverture c'est "juste" le diamètre du diaphragme.
Ensuite, on a l'ouverture géométrique, qui est l'ouverture divisée par la longueur focale. Ainsi, f/2 avec une focale de 50mm correspond à un diaphragme deux fois plus petit en diamètre qu'un f/2 sur un 100mm. On divise ainsi parce que ça permet d'avoir une idée de la quantité de lumière qui passe à travers le diaphragme (à f/2, il y a autant de lumière qui passe à 50mm qu'à 100mm ou à 24mm).
Du coup, si on a une ouverture de 100mm de diamètre, sur une focale de 50mm, ça donne f/0.5 en ouverture géométrique.
f/1 n'est pas le maximum...
Ensuite, il y a les contraintes de la monture du système photo. Une monture, c'est un diamètre de flange et un tirage optique (44mm de diamètre interne, 46,5mm de tirage mécanique pour la monture F ; 55mm de diamètre interne et 16mm de tirage mécanique), et ces deux paramètres font qu'il existe une ouverture limite maximale pour les optiques compatibles avec. Cette limite est de f/1.2 en monture F (environ ; ça explique pourquoi il n'y a eu quasi aucune ouverture f/1.2 et aucune à moins, en monture F, à part le 50/1.2 et le 58/1.2 Noct), f/1.0 (je crois) en monture Canon (d'où la pléthore d'optiques f/1.2 voire f/1.0 en monture Canon), et autour de f/0.7 en monture Z (par exemple).
Plus on s'approche de la limite théorique d'une monture, et plus les contraintes pour concevoir une optique explosent. Ainsi, c'est probablement bien plus simple de faire une optique f/1.4 ou f/1.2 en monture Z qu'en monture F...