Bonjour,
je tente une synthèse :
- Boitier : D80 (donc APSC, donc "facteur x1,5" => votre 18-55 se comporte comme une 24-70 sur FF, d'où le manque de recul dans certaines situations)
- 18-55 : peu lumineux en effet, qui plus est sans VR. Cet objectif est connu pour ne pas être le meilleur Nikon (restons polis tout de même)
- 35 f/1,8 : (cause APSC, cadrage comme un 50 en FF) confirme le point précédent
- JPG et no RAW : ça limite fortement les possibilités de "récupération" de photos sur ou sous-exposées
- 70-300 : en effet, télézoom (APSC => 105-450!) et en version lumineuse (f/2,8) ça va être couteux.
- 18-200 (ou 300) : polyvalent mais ne résout pas le problème de lumière
Au tout début, j'étais avec un D50 et un 18-200 Sigma 3,5-6,3. J'ai acheté plus tard un 50 f/1,4 pour les portraits (bokeh, PdC, etc. et qualité optique). Outre un changement de boitier (pas obligatoire pour vous), je suis passé ensuite sur le 18-105 (VR 3,5-5,6) que vous avez essayé, complété ensuite par un 80-200 f/2,8.
A situation globalement similaire, et avec un budget que je pressens limité (sinon, en effet, agir sur le boitier, genre D7000), le 18-105 (ou 18-140) peut être une solution, tout en gardant le 35 (pour l'utiliser dans des cas "extrêmes" : concert, "nuit", portrait). Si nécessaire, compléter ensuite par un télézoom, mais un bon (f/2,8 ou f/4, au pire). Ou équivalents chez Tamron/Sigma, bien sûr.
Pour les fichiers, il faudrait vous mettre au RAW (attention, ça pèse plus lourd en Mo sur les cartes mémoire). Outre d'éviter la perte (même minime) du JPG, ce format vous permettra de récupérer une photo surexp ou sous-exp, d'atténuer le grain (qui vient de la montée en ISO), etc. Bien sûr, il faut changer de logiciel (sans aller sur LightRoom, il y a des gratuits très bien : TheRawTherapy, par exemple).
Mais tout ce que je viens d'écrire (hormis le RAW) dépend avant tout de votre besoin, i.e. du(des) type(s) de photos que vous faites et voulez faire... On définit le besoin, on réfléchit aux caractéristiques techniques nécessaires, on identifie le matériel qui y répond... et on évalue la facture