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Hors ligne Pierre

choix d'un appareil avec viseur optique ou hybride?
« Réponse #15 le: 21 mai, 2020, 10:17:01 am »
Bonjour Serge,
Disons que sur le pas de la porte..me semble pas suffisant...je pense personnellement qu'il faut au moins 2 jours  pour faire des tests ds différents lieux, conditions....et quand je regarde les videos de plusieurs photographes amateurs ou autres....certains mettent 15 jours avant de donner leurs opinions. ::)
C'est normal... de toute manière il faut un petit temps d'adaptation pour passer au viseur LCD. De plus selon le modèle du boitiers il y en a des bons et des moins bons... 

La solution c'est de te faire prèter un boitier par un ami ou aller dans un club photo ou en louer un. Et c'est très personnel c'est comme l'ergonomie... Ce qui est sûr c'est que ce sera mieux en confort de visée que celui de ton D40X...

Pierre

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choix d'un appareil avec viseur optique ou hybride?
« Réponse #16 le: 22 mai, 2020, 11:42:12 am »
La question sur les qualités et défauts respectifs de la visée optique et de la visée électronique n’est pas nouvelle, et les réponses non plus.
Il me semble important de différencier deux niveaux de réponse : le niveau objectif (les aspects techniques, quantifiables, etc.) et le niveau subjectif (l’agrément personnel à utiliser l’une ou l’autre forme de visée).
Sans oublier que chacune des deux expressions « le viseur électronique » et « le « viseur optique » recouvrent des réalités très différentes en interne à chacune des deux catégories.
Par exemple, le viseur optique d’un reflex numérique de haut de gamme (ex : D850) est sans commune mesure, en terme de taille, de clarté, etc., avec le viseur d’un reflex d’entrée de gamme d’aujourd’hui. Sans même parler de comparaison avec des modèles plus anciens.
Au début du numérique, j’ai trouvé que la visée optique des premiers reflex numériques était une pitoyable régression par rapport à la visée optique des derniers reflex argentiques (par exemple le F100, le F6 et le FM3a, dans mon cas).

Idem pour la visée électronique. Le haut du panier, en dalles numériques (dans un Nikon Z6/Z7, par exemple, sans forcément monter au summum d’un Leica SL2) n’a rien à voir avec les viseurs électroniques « trou de souris » d’il y a quelques années.


Sans prétendre, évidemment, à l’exhaustivité des critères pour comparer l’une et l’autre visée, j’ai tendance à retenir ceux-ci. Pour aller plus vite, j’écris VE pour viseur / visée électronique et VO pour viseur / visée optique :

- le bloc de VE est d’un gabarit plus réduit que le bloc de VO ;

- l’image qui apparaît dans le VE représente 100% du cadre qui sera photographié. Ce n’est pas toujours le cas avec un OVF, où le cadre peut être inférieur à 100 %, mais aussi supérieur (les utilisateurs d’appareils télémétriques le savent bien) ;

- le grossissement et le dégagement oculaire sont souvent « meilleurs » en VE qu’en VO, à gamme d’appareils comparables ;

- le VE permet d’afficher dans le viseur une gamme bien plus large d’informations qu’un VO. C’est pratique, sauf si ça devient envahissant, quand l’utilisateur a peu de choix sur ce qu’il souhaite afficher ou pas dans son VE ;

- la VE induit un décalage temporel (latence) entre ce qui se passe effectivement devant l’objectif et ce que l’écran du viseur projette devant l’œil. La latence est généralement faible, mais certains photographes trouvent cela gênant, notamment pour photographier des sujets à déplacement / variation rapide. J’incline à penser que ce phénomène est de moins en moins perceptible, avec la progression de qualité des VE ;

- certains VE rendent une image un peu saccadée, quand on modifie rapidement son angle de visée (de haut en bas, ou latéralement). Cependant, la fluidité s’est améliorée, au fil des modèles successifs ;

- l’image perçue dans un EVF est différente de celle perçue à l’œil nu, et donc dans un VO. Car l’image dans le VE essaie de se rapprocher au maximum de ce que sera l’image JPEG prise par le boîtier en fonction des réglages de l’exposition. C’est souvent ce point qui divise le plus les amateurs de VE et les amateurs de VO. Les amateurs de VE soulignent que ça facilite la visée en conditions de faible lumière, qu’ils bénéficient d’outils d’aide comme la loupe, le « niveau » pour vérifier l’horizontalité, l’alerte pour les hautes lumières « cramées », etc. Les amateurs de VO préfèrent la vision plus « naturelle », et s’appuient, généralement, sur leur propre expérience pour préjuger de ce que les réglages de l’exposition produiront comme rendu ; ils reprochent aussi, non sans raison, les difficultés d’un VE face à une scène très contrastée ;

- la VE permet de voir dans le viseur une image qui reflète aussi des choix de « modes d’images » particulier : la désaturation, le monochrome, le « pop art », et autres filtres de prise d’image ;

- la visualisation de la profondeur de champ est facilité par la VE, alors qu’avec un VO, il faut recourir au bouton de « test de profondeur de champ » et subir, éventuellement, l’assombrissement de l’image dans le viseur quand le diaphragme se referme à l’ouverture choisie ;
- dans le vas d’un VE sur un boîtier stabilisé et/ou avec l’utilisation d’un objectif stabilisé, l’image dans le VE est « stabilisée ». Alors qu’avec un VO, la visée n’est stabilisée que si l’objectif l’est ;

- le VE consomme beaucoup plus d’énergie que la VO ; ça impacte directement l’autonomie d’une batterie, en nombre de photos réalisables avec une charge de batterie. Même si certains modes d’affichage améliore la gestion énergétique d’un VE, ça reste nettement moins économe qu’un VO ;

- pour l’utilisation d’objectifs à mise au point manuelle, le contrôle de la « bonne » mise au point est plutôt fruste avec un VO : il se limite le plus souvent à un petit voyant vert en bas du viseur, dont la précision n’a pas grand-chose à voir avec la visée à stigmomètre ou verre dépoli des viseurs des reflex argentiques sans autofocus. Un VE, lui, offre des outils pour mieux gérer la mise au point manuelle, comme la loupe, ou la mise en relief de la zone de netteté (« focus peaking »).


J’incline à penser que la principale différence entre un VE et un VO est que le VE projette sur l’œil une « interprétation » de la scène photographiée ; interprétation qui découle des choix faits par le photographe (ou par le boîtier, selon les automatismes) selon les réglages choisis. Cette interprétation se traduira de manière plus ou moins fidèle dans le fichier JPEG qui sera produit (le fichier RAW n’est pas du tout impacté de la même manière), selon que le VE est fidèle dans les chromies, les contrastes, etc.
Tandis que le VO laisse arriver à l’œil l’image qui n’est modifiée que par la qualité de l’objectif et de l’oculaire (et du miroir ou du prisme, dans le cas d’un reflex) et les paramètres physiques de la visée (par exemple : viseur qui « couvre » 100% de l’image ou pas), et c’est le cerveau du photographe qui procède à l’interprétation. Cette interprétation repose sur l’expérience de la personne ; par exemple, « voir en noir et blanc » dans un VO, on n’y arrive pas du jour au lendemain !

A titre très subjectif, j’apprécie le VE et le VO, pour autant qu’ils soient assez « bons » pour que cela me procure du plaisir à les utiliser. En numérique, les VO des reflex D810, D850 ou D500 me satisfont pleinement, tout comme le VE du Z6. Ou, dans une autre marque, le VE de l’Olympus EM1.2. Mention spéciale aux Fujifilm de la série X100, avec leur visée qui peut basculer d’un VE à un VO et vice-versa, rien qu’en agissant sur un petit levier qui tombe très bien sous l’index.

Bref, évitons les guerres de chapelle et les tentatives de conversion forcée de « celui d’en face »au type de viseur que l’on préfère soi-même. L’essentiel, c’est qu’il y a encore – pour le moment au moins – le choix entre des boîtiers à VO et d’autres à VE, et que chacun peut donc trouver chaussure(s) à son (ses) pied(s).

Et, de toutes façons, un VO ou un VE d’aujourd’hui (ou d’hier) sera un énorme bond en qualité par rapport au viseur d’un D40x, qui est un reflex d’entrée de gamme d’il y a une douzaine d’années.
Chez Nikon, avec trop de matériel ! Des argentiques (FM2, FM3a, F100, F6) et des numériques (D500, D850, Z6II, Z7). Et quelques autres boîtiers et optiques chez d'autres que Nikon... ;-)

choix d'un appareil avec viseur optique ou hybride?
« Réponse #17 le: 22 mai, 2020, 21:55:36 pm »
Bonsoir,

Merci pour vos remarques et constatations à propos de la différence que vous avez ressentie et analysé entre visée optique et visée électronique avec pour compliquer les choses, l'obligation de prendre en compte les différences qu'il existait entre tel ou tel boîtier, avec pour ce qui me concerne églt boîtier muni de tel ou tel format de capteur (numérique Dx versus numérique Fx) muni de tel ou tel objectif,

Notamment pour :
- l’image perçue dans un EVF est différente de celle perçue à l’œil nu, et donc dans un VO. Car l’image dans le VE essaie de se rapprocher au maximum de ce que sera l’image JPEG prise par le boîtier en fonction des réglages de l’exposition. C’est souvent ce point qui divise le plus les amateurs de VE et les amateurs de VO. Les amateurs de VE soulignent que ça facilite la visée en conditions de faible lumière, qu’ils bénéficient d’outils d’aide comme la loupe, le « niveau » pour vérifier l’horizontalité, l’alerte pour les hautes lumières « cramées », etc. Les amateurs de VO préfèrent la vision plus « naturelle », et s’appuient, généralement, sur leur propre expérience pour préjuger de ce que les réglages de l’exposition produiront comme rendu ; ils reprochent aussi, non sans raison, les difficultés d’un VE face à une scène très contrastée ;
Un truc qui n'a l'air de rien mais qui change bcp malgré le fait que comme un nbre grandissant de photographes, il m'arrive aussi de prendre des images, des "photos" avec mon smartphone. Passer à l'hybride avec un viseur numérique c'est effectivement passer à "autre chose". Qd la lumière baisse et qu'on le constatait "naturellement" en VO (visée optique), on n'a plus cette baisse de luminosité au viseur en VE. Et en même temps, on n'a plus totalement suivant les réglages qu'on peut ou ne pas faire, sur les variations de "saturation", de "rendu" des couleurs tels que notre cerveau les interprètent, point que vous soulignez juste après..

J’incline à penser que la principale différence entre un VE et un VO est que le VE projette sur l’œil une « interprétation » de la scène photographiée ; interprétation qui découle des choix faits par le photographe (ou par le boîtier, selon les automatismes) selon les réglages choisis. Cette interprétation se traduira de manière plus ou moins fidèle dans le fichier JPEG qui sera produit (le fichier RAW n’est pas du tout impacté de la même manière), selon que le VE est fidèle dans les chromies, les contrastes, etc.
Tandis que le VO laisse arriver à l’œil l’image qui n’est modifiée que par la qualité de l’objectif et de l’oculaire (et du miroir ou du prisme, dans le cas d’un reflex) et les paramètres physiques de la visée (par exemple : viseur qui « couvre » 100% de l’image ou pas), et c’est le cerveau du photographe qui procède à l’interprétation. Cette interprétation repose sur l’expérience de la personne ; par exemple, « voir en noir et blanc » dans un VO, on n’y arrive pas du jour au lendemain !
Oui c'est ce que je viens de réaliser = c'est une autre façon de prendre qqe part des images qui pour le moment me gêne un peu. Car dans le viseur ce n'est plus vraiment ce que je vois avec mes yeux mais bien comme vous le dites, une "interprétation" faite par un appareil. Hors jusqu'à présent je mémorisais ce que je voyais. Donc en post-production (sur mon ordi) j'essayais ensuite si besoin de "restituer" le souvenir que j'en avais. Avec le VE de mon Z50, pour le moment je suis contraint de décoller mon oeil de mon viseur pour essayer de mémoriser la "réalité" et non a seule image donnée par mon VE qui n'est pas obligatoirement ce que je vois, ou que j'interprète, que je ressens. En clair, en cette fin d'après midi puis début de soirée, tjs en test avec mon Z50, j'ai constaté cela et ça me perturbe. La photo pour moi c'est traduire ce que je ressens et pas ce qu'un APN me présente et qui peut parfois être très différent. Nuance de taille.

- pour l’utilisation d’objectifs à mise au point manuelle, le contrôle de la « bonne » mise au point est plutôt fruste avec un VO : il se limite le plus souvent à un petit voyant vert en bas du viseur, dont la précision n’a pas grand-chose à voir avec la visée à stigmomètre ou verre dépoli des viseurs des reflex argentiques sans autofocus. Un VE, lui, offre des outils pour mieux gérer la mise au point manuelle, comme la loupe, ou la mise en relief de la zone de netteté (« focus peaking »).
Sur ce point le VE de mon Z50 me semble nettement avantagé par rapport au VO de mes reflex Dx (D200, D90 et D7200). Je l'envisageais sur le papier avant, j'ai la confirmation sur le terrain maintenant. Cpdt, ça ne règle pas mon pb de vision "telle que l'image sera" versus image "telle que je la vois avec mes propres yeux, sans mon APN" ++

Pour le moment j'ai encore les deux, mon reflex et mon hybride. Même taille de capteur = optiques communes en dehors du zoom Z Dx 16-50 du kit qui ne va que sur le Z50 et le fait que l'adaptateur FtZ à l'usage, me confirme que pour moi au moins, ce n'est dans l'idéal qu'une solution de transition = il me faudra acquérir la base de mon parc optique en objectif dédiés. Avec des optiques Z qui pour le moment coûtent (en dehors des Z Dx) un "bras".

Néanmoins pour le moment, je n'ai pas l'intention de renvoyer mon Z50 = si tout n'est pas "parfait", certains trucs comme la VE, le poids et l'encombrement du couple Z50 + 16-50 ont je crois, réellement du bon dans le sens du mieux. Avec en prime l'avantage de pouvoir recevoir mon AFS mm f/1.8G ou mon AFS 85 mm F1.8G que j'adorent, ou prochain souhait sur ma liste, le 14-30 Z f/4 compatible lui aussi hybride FF comme Dx (cette fois avec le facteur crop), Z natif, donc utilisable sans l'adaptateur FtZ.

Bref, la VE n'a pas pour moi que des avantages versus la VO. Pour le moment, je pense qd même que la VE (de mon Z50) m'offre plus d'avantages que d'inconvénients versus la VO (de mon D7200) pour mon utilisation personnelle (qui comprend un parc optique assez varié avec de très vieux cailloux AIS à MAP manuelle).

A+

PS : L'autofocus du Z50 en mode sélectif avec mémorisation et en mode Auto avec Eye-AF me semblent apporter un réel plus pour ma pratique ++ Et ça, je ne l'ai pas sur mon D7200.
« Modifié: 22 mai, 2020, 22:27:22 pm par orglop450 »
Z50 + D610

choix d'un appareil avec viseur optique ou hybride?
« Réponse #18 le: 22 mai, 2020, 23:02:10 pm »
Je serai beaucoup plus concis que les intervenants précédents.
Le viseur de mon Z6 est de très loin beaucoup plus agréable et plus performant que celui de tous les reflex que j'ai eus jusqu'ici : D80 (le pire) D90, D7100, D600 et D5600...

choix d'un appareil avec viseur optique ou hybride?
« Réponse #19 le: 22 mai, 2020, 23:10:51 pm »
Pour le moment j'ai encore les deux, mon reflex et mon hybride. Même taille de capteur = optiques communes en dehors du zoom Z Dx 16-50 du kit qui ne va que sur le Z50 et le fait que l'adaptateur FtZ à l'usage, me confirme que pour moi au moins, ce n'est dans l'idéal qu'une solution de transition = il me faudra acquérir la base de mon parc optique en objectif dédiés. Avec des optiques Z qui pour le moment coûtent (en dehors des Z Dx) un "bras".

Il y a déjà des objectifs Z d'occasion à prix intéressant sur le forum de Nikon Passion :)

choix d'un appareil avec viseur optique ou hybride?
« Réponse #20 le: 22 mai, 2020, 23:55:48 pm »
Hi,

Le zoom 16-50 hyper-compact du kit m'a paru pas trop mal compte tenu de son prix. A terme, le Z 14-30 F/4 me tenterait bien... en Dx (donc avec le facteur crop) comme + tard sur un Z6. Je rêve ?

Pris cet après midi avec le 16-50 (faut encore que je m'y habitue mais je trouve qu'il a du potentiel) :
Z50 + D610

choix d'un appareil avec viseur optique ou hybride?
« Réponse #21 le: 23 mai, 2020, 12:34:05 pm »
(Réponse à orglop450 dans un autre fil de discussion, pour ne pas trop polluer celui-ci qui a pour sujet principal les viseurs optiques et hybrides.)
« Modifié: 23 mai, 2020, 12:45:12 pm par tytram »

choix d'un appareil avec viseur optique ou hybride?
« Réponse #22 le: 26 mai, 2020, 00:46:42 am »
Re,

Complément d'avis : sur le terrain en photo de nuit ou lors de l'utilisation d'optiques anciennes type AIS à MAP manuelle, le VE (du Z50) me paraît nettement plus pratique et fonctionnel pour faire sa MAP que le VO du D7200 (reflex APS-C).

De ce point de vu, cela "compense" un peu le fait que ce que je vois dans mon viseur, n'est plus ce que je vois réellement avec mes yeux (hors viseur).

S'il faut choisir obligatoirement entre les 2, le VE me parait effectivement avantagé sur ce plan là. Mais on ne prends pas obligatoirement bcp de photos en faible luminosité et/ou en MAP manuelle avec ou pas, des optiques anciennes.

A+
« Modifié: 26 mai, 2020, 00:49:49 am par orglop450 »
Z50 + D610

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Hors ligne Buzzz

choix d'un appareil avec viseur optique ou hybride?
« Réponse #23 le: 27 mai, 2020, 19:51:05 pm »
Je serai beaucoup plus concis que les intervenants précédents.
Le viseur de mon Z6 est de très loin beaucoup plus agréable et plus performant que celui de tous les reflex que j'ai eus jusqu'ici : D80 (le pire) D90, D7100, D600 et D5600...
A part le viseur du D600 pas trop mal mais sans plus, rien d'exceptionnel là-dedans (et il y a eu pire que le viseur du D80 chez Nikon, malheureusement)… Les boîtiers pros sont dans une autre ligue, et je me souviens en particulier du Minolta Dynax 9 qui était exceptionnel. Le viseur des F5/Canon EOS 1 que j'ai eu entre les mains ne sont pas mal non plus.

Après réflex ou Mirrorless, c'est surtout voir un écran ou voir en direct sur un miroir… Tous les EVF ne se valent pas mais les progrès arrivent à chaque génération… A tester soi-même de toutes façons.

Buzzz

choix d'un appareil avec viseur optique ou hybride?
« Réponse #24 le: 28 mai, 2020, 12:07:10 pm »
La visée réflex est condamnée à terme.

La visée hybride offre en effet bien des avantages :
- on peut juger dès le déclenchement du bon réglage de l'exposition (et aussi se rendre compte d'une balance des blancs foireuse)
- la couverture des collimateurs couvre tout le champ
- la MAP est bien plus précise
- on peut afficher dans le viseur l'alerte de surexposition ou le niveau numérique
etc...

Seuls la vitesse de rafraichissement de l'affichage (variable selon les modèles), la moindre autonomie et surtout la nécessité de devoir repenser à terme son parc optique peuvent constituer de réels freins au passage à l'hybride.

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