Re-Bonjour,
En effet, comme le signale Anhsolo, ce n'est qu'une impression et, la plupart du temps, un sacré coup de chance, surtout avec des focales relativement importantes avec lesquelles la profondeur de champ est quasi nulle.
Les pionniers de la photo animalière utilisaient leurs télés en hyperfocale, pour être plus sûrs d'obtenir quelque chose de correct, et il faut se rappeler les tonnes de films jetées à la poubelle pour cause de flou de mise au point !… En inversible développé dans des labos pros, ça finissait par coûter une fortune.
Maintenant, louper une mise au point avec de courtes focales, je dirais qu'il faut presque le faire exprès… Mais avec un 300, un 400, un 600 (mon télé préféré et "basique" à main levée), l'apparition des optiques AF-S ou AF-D (une fois le premier point fait, les optiques "D" suivent très bien le sujet, mais l'AF-S est inégalé).
Il n'y a qu'à voir le nombre de photos réussies du petit et très rapide papillon
Moro-sphinx, depuis l'apparition des AF rapides et des boîtiers qui suivent : à l'époque de seulement le merveilleux Micro-Nikkor 4/200 IF (ni ED ni AF), c'était quasiment impossible sans piège électronique, ou alors il fallait une chance de c… (sans doute pour ça que je suis resté célibataire jusqu'à soixante ans
)…
Ces remarques n'enlèvent bien évidemment rien au plaisir que l'on éprouve à jouer avec des optiques à mise au point manuelle. Il faut les conserver car elles ne risquent pas de tomber en panne avant longtemps.