Avec la réception que j’ai eue, je m’étais promis de ne pas reprendre part à la discussion.
Le ton moins ricanant de certains me pousse par correction à exprimer un peu mieux ma pensée.
Vous remarquerez que j’avais posté mon intervention dans la rubrique « choix et avis sur la marque », pas dans une rubrique technique.
Le titre du site, « Nikon PASSION », m’avait encouragé. J’avais tord. Ceci dit je continue à consulter le site où je trouve des informations intéressantes, et j’en remercie ses acteurs.
La manière dont a été traitée mon intervention me fait penser à une autre (sur le même site) où quelqu’un demandait où étaient les boutons préprogrammés sur le D800 (portrait, paysage, …). La réponse a été à peu près : si tu ne sais pas faire ça sans les boutons, pourquoi t’achète un D800, pauvre con (j’exagère un peu sur la forme, mais pas beaucoup).
Mais si tous ceux qui achètent des Porsches étaient soit des pilotes de circuit (911), soit des pilotes de rallye raid (Cayenne)… d’abord ça se saurait, et en tous cas l’entreprise serait bien moins profitable.
Quand j’étais jeune, c’était le temps du Nikon F, mais c’était trop cher. Il a fallu que j’attende 35 ans et le numérique pour enfin me payer un rêve, et dépenser sans trop compter tout ce qui va avec. J’étais passionné.
Et bien l’histoire que j’ai racontée a (comme je l’indiquais dans le titre), cassé ce rêve.
Quand on a créé et porté une marque là où en est Nikon, on se doit de s’intéresser à ces clients passionnés, pas forcément pros, et pas seulement à ceux qui s’en foutent et achètent ce dont ils ont besoin sans attachement à la marque. Je ne ressens pas cet intérêt de la part de la marque, je trouve cela triste et je le dis.
Pour rassurer les techniciens et suivre leurs conseils, depuis, quand j’achète du matériel, je prends ce dont j’ai besoin, sans plus d’attachement à la marque.