L'apport de lumière artificielle, en macro, ça permet
1- d'utiliser une petite ouverture pour gagner un peu en profondeur de champ
et 2- de travailler à des vitesses relativement élevées, ce qui limite le flou de bougé.
En extérieur, le flash s'impose car, avec ses piles, il est autonome et, lorsqu'il est mécaniquement relié au boitier (griffe, bague, bracket...), l'ensemble se déplace d'un bloc.
En intérieur, les conditions sont très différentes : sujet immobile, travail sur trépied sans déplacement, énergie électrique à disposition...
L'éclairage continu, led ou autres, permet de voir exactement ce que produit la lumière avant déclenchement, et de la caler en conséquence. Alors que, pour le flash, on ne le sait qu'à l'examen de l'image (sauf avec les flashes de studio équipés d'une lampe pilote suffisamment puissante).
Le flash garde quand même un avantage, c'est qu'on peut moduler sa puissance individuellement au 1/3 de diaph près.
Pour l'éclairage continu, c'est plus difficile, il faut avancer ou reculer les sources. Ou bien utiliser des variateurs pour Led, un pour chaque source, mais c'est relativement cher, beaucoup moins précis et, pour les led, utiliser uniquement des Led "gradables" identifiées par un pictogramme spécifique.