Maintenant plus de raisons pour que les photos ne soient pas de qualité suffisante, sauf si la technique ne suit pas ^^
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En tout cas je prend note de vos conseils sur la vitesse d'obturation (3x la focale) et sur la sensibilité (éviter le mode auto...). Je vais essayé d'appliquer ces conseils aux mieux et quand je maitriserais mon affaire, à moi les format Raw
Utilisant un D3200 depuis deux mois, je viens de feuilleter un article dans une revue consacrée à la photo.
L'auteur y exprime l'opinions suivante (je retranscrit en fonction de ce que j'ai compris et avec mes mots).
" Pour tirer partie des grandes possibilités du capteur :
- format RAW systématiquement
- vitesse d'obturation pour éviter le flou de bouger
- bonnes optiques..."
Les deux premières directives n'entraînent pas de dépenses nouvelles.
A titre d'illustration, une image faite en mode Manuel, avec un vieil objectif (pré-AI) de bonne qualité, sans flash et ans soleil, mais en RAW.
Elle est assez sombre, mais je l'aime quand même.
http://lerautal.lautre.net/journal/image/bourrache10.jpgUn ami photographe, Adriano, a repris mon image avec Photofiltre et en a fait ceci :
http://lerautal.lautre.net/journal/image/bourrache10b.jpgIl est bon Adriano. Meilleur encore que mon optique :-)
En complément : détail d'une image de Lépiote mettant en évidence la déchirure de l'anneau et du bord du chapeau.
Ciel couvert et pas d'éclairage annexe ce qui donne une image peu contrastée, qui a été "éclairée" à postériori avec Gimp.
http://lerautal.lautre.net/journal/image/lepiote_jlouis01.jpgCommentaire : le fait d'avoir accès au format RAW et à tant de pixels peut être un avantage pour ce genre de photographie, par exemple quand elles peuvent servir de support à un discours pédagogique.
Les conditions détestables de la prise de vue (je voulais laisser le champignon sur place) ont un effet pervers : les lames des lépiotes n'ont pas cette couleur brune. Sans doute me faut-il revoir mon post-traitement (mais on sort du sujet).