[Olivier]

Je rajouterais également que l'était général dépend du type d'image réalisée!!

En studio, montagne, terrain, sport, en salle, mariage, anniversaire, etc....

J'ai du matos de pro c'est vrai, je sais que c'est du solide...et par conséquent je fais entièrement confiance!

Un peu de terre dessus, c'est pas grave...je nettoie et c'est reparti

Olivier

[jef]

Je suis entre b et c. Je ne le traite pas comme un porc non plus, mais si je me trouve dans des conditions un peu difficiles, il a intérêt à tenir. Non mais sans blague.
Ce qui n'empêche pas de lui accorder le repos du guerrier avec un nettoyage attentif après un passage par la plage.

[Olivier]

j'aurais bien voulu dire d)

Olivier

[GER76]

moi je dis reponse: a
j'en prend soin de mon D2H, même si ça ne m'empeche pas de le trimballer partout avec moi. (bah oui, il est fait pour ça )

[Jeremy]

b) : pas de précautions particulières, mais qui veut aller loin ménage sa monture. Donc, au final, soigneux sans être maniaque. Je mets rarement un bouchon d'objo ; je tape souvent le matos au fond du sac ; ça bringueballe et cogne régulièrement ; ça choppe de la poussière etc, mais je fais l'entretien dès que possible.

[Rogue]

b, de temps en temps je nettoie, mais je le pose partout, sable, poussiere etc...

[Franz]

B avec quelques incusrsions en A. Mais difficile d persévérer. Et puis, trop d'entretien peut user aussi. Non ?

[Brollex]

f) comme ma femme.

C'est pas une réponse ! Faut voir ce que certains font subir à leur femme !

Moi, j'aurais mis plutôt X pour "comme ma femme".  

Pour le matos, c'est b, comme bordélique.

Vu les thunes qu'elle me coûte et le plaisir que j'en tire depuis 20 ans, le verbe "subir" est inadéquat en ce qui la concerne  

Mon matériel n'est pas en vitrine donc, disons u) comme utilisé...  

[Roger de Vauréal]

Y en a qui sont durs avec leur douce moitié....
Pour le matériel photo, compte tenu du prix, quelle que soit la gamme ( en rapport avec son budget... ) dans laquelle on se positionne et bien j'en prends le plus grand soin : Nettoyage en douceur des objectifs et boitiers ( Chiffons doux et petit pinceau, bombe d'air comprimé très très sec avec parcimonie ) et attention particulière lors des changements d'objectifs pour épargner les montures, les contacts et éviter les poussières ( Aïe, aïe, aïe le capteur... ). Penser aux petits sachets anti-humidité dans le fourre-tout. Comme ça, pas de problèmes depuis près de 30 ans ( D'abord Canon et ensuite Nikon ).
Une belle journée à vous...

[philipandre]

mal .... en reportage, il ne faut pas qu'il craigne de prendre quelques petit chocs, un peu d'eau, de la poussière, et .... ma mauvaise humeur si je rate un truc ...

mais en rentrant, je le bichonne pour qu'il me pardonne et que le lendemain, il soit fidèle au poste ...

mais il est bon de préciser que, si le matos prends pluie, poussière et choc ... j'en prends autant que lui ...

c'est donc un juste partage ...

plus jeune, je flippais à l'idée que le matos soit sale, ou qu'il prenne une beugne ... il me coutait cher, donc des sacrifices, je voulais qu'il dure ... mais en fait, même si le matos me coute toujours cher, et qu'il me demande " encore " des sacrifices" ( hé oui !) l'image prime avant tout ...
et une rayure, si je préfère qu'elle soit sur un boitier que sur un lentille, c'est encore pire sur un néga ou une carte qui se grille avec 200 photos dessus ...

il faut être soigneux, mais pas maniaque ... ça permet de faire des images en plus, et c'est celles là les meilleures ...

pour le matos, je P comme photographe, ou F comme fotograph,

[PhilR]

A dans l e fourre-tout
B dans l'usage
C dans le mé-usage

[ASH]

Comme un porc, le mattos pro est "fait pour ça", si dès la première goutte on tremblote à l'idée de sortir la bestiole, autant se confiner au studio. Et j'ai vu du mattos amateur prendre de sacrées dérouillées (climatiques) sans sourciller. Par contre, pour ce qui est du capteur, la rigueur et les précautions sont de mise :/ .

[sorgue]

A et avec amour, comme ma maitresse

[Keole]

Bonne idée ce fil.

Je suis plutôt a) mais je tente de glisser vers b)... ce qui n'est pas facile.

Je crois effectivement que se sortir de la tête les précautions qu'on prend pour son matos permet de mieux se concentrer sur ses images, et aussi d'emmener avec soi son boitier malgré des conditions difficiles.

J'avoue aussi avoir du mal à prendre mon boitier (un D200) pour des sorties nocturnes à Paris. C'est presque trop voyant par rapport à mon ancien Minolta...

[Horus]

Keole à écrit :
Je suis plutôt a) mais je tente de glisser vers b)... ce qui n'est pas facile.

Pareil pour moi