hello
la profondeur de champ repose sur l'accuité visuel standard humaine, 1mm à 2500mm soit à peu près 1.5 minute d'arc. Cela permet de définir un cercle de confusion, dont le diamètre est suffisamment petit pour être considéré comme un point. Le diamètre de ce cercle varie donc avec le format du négatif car pour une taille d'image défintif identique, deux formtats different ne seront pas agrndi du même facteur. Alors pourquoi avoir plusieur formats? Simplement parce que ce qui ne change pas, c'est la taille du grain de la pellicule, aussi plus le format est grand plus la taille relative du grain dans l'image est faible ce qui permet d'augmenter le nombre de grain par cercle de confusion, donc d'ammeillorer le rapprt signal sur bruit de l'enregistrement et donc d'avoir un échantillonage plus important de la variation d'amplitude du signal.
L'image d'un point est une gaussiène au foyer de l'optique, plus vous aver de grain (pixel) pour décrir cette courbe plus vous avez de finne variation, c'est le problème courant de digitalisation de signaux que l'on retrouve dans tous les dommaines: son, électronique ou photo. Car la photo argentique n'est qu'un enregistrement 2D d'un signal de variation d'amplitude du niveau de la lumière, La pixelisation joue sur deux variables, une bianaire (le grain est ou non dévelopable) et une relative (un certain % de grain sont dévelopable) c'est pourquoi les courbes de noircissement ne sont pas totalement linéaire au pied et sommet de courbe. Je supose qu'un CCD est plus linéaire car il n'y a qu'une variable sur 12 ou 16 bit d'amplitude, tous les pixels étant tous éclairé.
En fonction du cercle de diffusion (donc du format), de la focale et de la distance de mise au point on cacule d'abord l'hyperfocale puis les distances avant et arrière de nettetés.
La profondeur de champs est difficile à apprécier dans le viseur, il faut laisser un peu de temps à l'oeil de s'adapter à la variation de luminosité du viseur et il n'est pas facile de voir ce qui est encore net de ce qui est déjà flou avec le grain du dépoli. Personellement, je préfère vérifier avec la bague de mise au point et l'échelle gravé sur le fût de l'optique quel diaph je doit utiliser pour que mes plans soit nets. C'est aussi pourquoi l'absence de test de profondeur de champs n'est pas à mon avis un critère rédibitoire pour un boîtier, de plus on peut toujour sur Nikon dévisser à moitier l'optique de la monture si on veut faire un test.
L'intérêt du réflex mono objectif est da voir par l'optique et d'éviter la paralaxe ce qui est utile avec des sujets proche. L'intérêt d'un boîtier télémétrique (non réflexe donc) est d'avoir un viseur plus large ce qui permet de voir ce qui va entrer dans le champ. Les deux ont un avantage que l'on doit retrouver dans les numérique à petit capteur et visée 24*36: pas de paralaxe et visée plus large que capturée.
salutations
J.Ph.