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Enregistrer valeur TTL pour passer en manuel
« le: 20 févr., 2021, 22:27:45 pm »
Bonjour à tous,
De nouveau besoin de vos lumières...
Comment puis je faire pour obtenir la valeur utilisé par le flash (SB-5000) en mode TTL lors du précédent déclenchement ?
J'aimerais pourvoir l'utiliser afin de passer en manuel sur cette même valeur et faire du fine tuning (si besoin) et que tous les prochains déclenchements tirent à la même puissance.
Je vois pas mal de photographes utiliser cette technique :
1) test shot TTL
2) ajustement de la valeur en passant en manuel
3) continuer une série de photo sur cette même valeur en mode manuel
Merci ! 😊

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Enregistrer valeur TTL pour passer en manuel
« Réponse #1 le: 21 févr., 2021, 10:52:19 am »
A ma connaissance, cela ne se fait qu'avec des triggers qui a la fonction TCM, comme le Godox XPro.

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« Réponse #2 le: 22 févr., 2021, 10:07:52 am »
A ma connaissance, cela ne se fait qu'avec des triggers qui a la fonction TCM, comme le Godox XPro.
Du coup, il faut XPro + récepteur Godox accroché au SB-5000?

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« Réponse #3 le: 22 févr., 2021, 10:41:20 am »
Du coup, il faut XPro + récepteur Godox accroché au SB-5000?

Oui !

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« Réponse #4 le: 28 févr., 2021, 18:19:03 pm »
Bonjour,

Oui !

Pour le Godox X-Pro N, je confirme que ça fonctionne puisque j'utilise ce système radio. Voici ce que j'ai écris à propos de la fonction TCM dans un post initié par Ptika sur ce même forum :

https://forum.nikonpassion.com/index.php?topic=188421.15

Citation de: orglop450
Bonsoir,

Mon message s'adressait d'abord à vous et comme nous sommes sur un forum à l'ensemble des lecteurs dans la mesure où le sujet de ce post peut les intéresser.

Merci de nous avoir précisé ici que vous n'utilisez pas le système radio Godox mais, si j'ai bien compris le YongNuo. Mais que ce dernier pose qqe part un pb "commun" aux 2 systèmes radio à savoir que lorsqu'on souhaite déclencher un flash Nikon type SB700 (mais églt d'autres flashs Nikon "optiques") on est obligé de mettre ses flashs en mode TTL quelque soit le mode ensuite choisi via le déclencheur/contrôleur, le Godox XPro-N pour moi, le YongNuo 622N-TX pour vous.

Le fait de placer nos flashs Nikon en mode TTL (alors qu'ils peuvent être réglés en "manuel" sur le contrôleur) perturbant une mesure de l'expo avec un flashmètre dans la mesure où celui-ci semble gêné par l'emission du pré-éclair spécifique du mode TTL.

A priori, nous sommes OK sur ce point là.

Nouveauté pour moi, j'ai voulu tester une fonctionnalité que je n'avais pas testée jusqu'à présent sur le système Godox avec le XPro-N  (mais qui ne me semble pas être possible avec les 2 autres triggers Godox les X1T-N et X2T-N) : cette fonction est appelée TCM pour TTL/conversion/Manuel en français ou en + plus clair cela permet de passer d'un mode de fonctionnement TTL (pour les flashs) à un mode manuel.

Ok, qd on débute avec les flashs cobra, on a tendance par facilité à utiliser en 1ère intention ce qui nous semble le + rapide : donc on shoote au flash en TTL. Bien bien vite, si on est accro à la photo au flash, on constate les "insuffisances" de la mesure de l'expo TTL dès qu'on bouge par rapport au sujet alors que par exemple, en flash déporté (strobism) la distance flash sujet est soit fixe, soit globalement identique (le sujet pouvant adopter différentes poses). La mesure TTL prend en compte la totalité de la scène comme le fait une mesure de l'expo matricielle. 

- Pourquoi (en flash) le mode manuel plutôt que TTL ?
Si on souhaite plus de constance, de "stabilité" au moins pour moi et à priori pour vous aussi, il faut parfois passer par le mode manuel (plus lent au départ mais parfois + adaoté et plus rapide au final) et du coup, "classiquement" par un flashmètre qui nous permet de mesurer cette lumière de manière "isolée" groupe de flash A indépendamment du groupe de flash B par exemple. Les réglages étant correctement établis, pour ma part entre un cliché pris à 1 mère du sujet puis à 3 mètres, mes flashs n'ont plus besoin d'être modifiés dans leurs réglages, le sujet est ici tjs "correctement" exposé alors qu'en TTL, suivant ma position, l'expo correcte du sujet peut ne plus l'être. Par analogie, pour moi le mode manuel équivaut un peu à une mesure sélective (le sujet par rapport à la lumière qu'il reçoit) et le TTL correspond à une expo matricielle (qui ne s'interrese pas qu'au sujet mais à la totalité de la scène). Hors si on ne veut pas "cramer" le sujet, parfois la mesure sélective me semble la plus adaptée.
Sur ce que vous décrivez, je n'ai pas l'impression que nos vues soient très différentes : les 2 modes TTL et manuel se complètent. Dans certains cas, nous préférons le mode manuel aidé par l'utilisation d'un flashmètre qui facilite entre autre à établir des différences de ratios que bous souhaitons appliquer entre les différents groupes de flashs. Si les flashs étaient tous réglés à la même puissance de sortie on obtiendrait pas obligatoirement ce nous, nous souhaitons dans certains cas. Justement des nuances, du relief et en même temps des détails dans des zones fortement éclairées comme dans certaines zones d'ombres qui nous semblent néanmoins importantes.

- Qu'apporte la fonction TCM ?
Avec un flash Nikon "condamné" à être mis en mode TTL qd je l'utilise en système radio la fonction TCM m'apporte une solution sur une autre voie. Comme son nom l'indique (je sais que cette fonction est dispo au moins sur un autre systèmes radio + haut de gamme que le Godox. Par contre navré, j'ai l'ai vu il y a qqes semaines sur le net et n'ai pas retenu la marque) il faut d'abord prendre une photo en mode TTL et donc là c'est le boitier qui va "fixer" la puissance de sortie du flash. Par exemple je mets mon APN à f/8 pour 100 ISO, synchro flash 1/200s. Ensuite.. j'appuie la touche TCM de mon XPro-N et là... l'indicateur de mon flash qui était réglé en TTL passe en Manuel avec la puissance correspondante affichée par exemple 1/64.
Ensuite je peux tranquillement continuer à régler mes autres groupes. Celui là (flash Nikon) ne bougera pas, il restera en mode "manuel" mais réglé non pas à partir de mon Minolta IV mais bien à partir du capteur de mon Nikon Z50. Je garde ma façon de raisonner sur le fond. Mon flashmètre me sert pour la lumière ambiante, mon unique flash de studio et peut-être un jour, un Godox AD100 Pro ou équivalent.

- Question : je ne sais pas si le YongNuo 622N-TX dispose lui aussi de cette fonction TCM ?

Par rapport à la question de départ de l'auteur du post : oui le SB700 est compatible avec le système Godox et même.. avec la fonction TCM (si on utilise un trigger Godox disposant de cette fonction). Ce qui me semble un point positif supplémentaire.

Reste que je ne suis un amateur en format APS-C, mais bon. D'abord se faire plaisir !

A+

PS : Le flashmètre SEKONIC LITEMASTER PRO L-478DR est églt compatible avec le système radio Godox (faut donc acheter le "bon" module" = RT-Gx si on est en système radio Godox.. ne pas prendre le modèle radio "std" qui est le Pocket Wizard = compatible système radio Nikon => Pas le SB700 mais bien Nikon type SB5000 et ultérieurs avec récepteur radio Nikon intégré). Trop cher pour mes besoins, au moins actuels, je l'ai déjà dit. Mais bon, rien n'interdit de rêver.

https://www.sekonic.com/about-radio-compatibility


Si ça fonctionne avec un Nikon SB700 (le système radio Godox), je pense que cela doit églt fonctionner avec un SB5000. Cpdt, je ne l'ai pas testé ++

Ceci dit c'est un peu aller contre nature d'utiliser le système radio Godox (oblige comme vous le dites à acheter un trigger type XPro-N plus un récepteur Godox type X1R-N, N pour compatible Nikon) alors que le SB5000 possède un récepteur intégré, certes incompatible avec le système radio Godox, mais selon ce que j'ai cru comprendre et que j'ai écris dans le message cité, le SB5000 serait compatible avec les émetteurs (triggers) utilisant le protocole Pocket Wizard std. Reste plus qu'à trouver des triggers compatibles Pocket Wizard et savoir si ceux-ci possèdent ou pas la fonction TCM. A noter qu'avec un flashmètre, on peut bien évidemment raisonner de manière différente.

Bonne continuation à vous
« Modifié: 28 févr., 2021, 18:41:03 pm par orglop450 »
Z50 + D610

Enregistrer valeur TTL pour passer en manuel
« Réponse #5 le: 10 mars, 2021, 12:09:19 pm »
le SB5000 possède un récepteur intégré, certes incompatible avec le système radio Godox, mais selon ce que j'ai cru comprendre et que j'ai écris dans le message cité, le SB5000 serait compatible avec les émetteurs (triggers) utilisant le protocole Pocket Wizard std. Reste plus qu'à trouver des triggers compatibles Pocket Wizard et savoir si ceux-ci possèdent ou pas la fonction TCM.
Bonjour,
J'ai contacté directement le service client PocketWizard.
Ils m'ont indiqué :
"
If you are using PocketWizard radios, you need to use them as both transmitters or receivers. If you are using the Nikon system, it will only work with the Nikon system.
Every manufacturer uses a different protocol and coding. We also use 433 MHz for a frequency while the Nikon system uses the crowded 2.4 GHz. You can use PocketWizards with almost any camera or flash but you need the PocketWizards on both ends. We would love to have a system that could integrate with other manufacturers and it may happen in the future but right now, you would need 2 PocketWizard FlexTT5s to remotely trigger your SB-5000. (or you'd need the Nikon radio transmitter)
"
Donc non avec Pocket Wizard c'est pareil que Godox, il faut un émetteur et un récepteur radio pour faire fonctionner flash Nikon.

Avez vous un modèle de flashmètre à recommander?
Ainsi qu'un didacticiel pour utiliser ce genre d'équipement?
Bien à vous.
Thomas

Enregistrer valeur TTL pour passer en manuel
« Réponse #6 le: 17 mars, 2021, 08:20:23 am »
Bonjour,

Citation de: azerpoi
Donc non avec Pocket Wizard c'est pareil que Godox, il faut un émetteur et un récepteur radio pour faire fonctionner flash Nikon.

Avez vous un modèle de flashmètre à recommander?

Merci pour l'info.

Les systèmes captifs sont encore une fois préférés aux systèmes ouverts (avec ou sans droits d'entrée..) ce qui ne fait pas forcément l'intérêt de nous, utilisateurs. Même si les systèmes ouverts ont aussi leurs inconvénients du fait svt d'un manque de cohérence.

En ce qui concerne l'utilisation d'un flashmètre, je ne suis pas la personne la mieux placée, notamment sur ce forum pour en parler.

Perso je me suis mis à réutiliser un vieux modèle, un Minolta IV, dès que j'ai voulu explorer l'utilisation d'un unique flash de studio d'entrée de gamme et non TTL, en même temps que mes flashs nomades. Je ne pense pas que pour un amateur ou qqu'un qui à l'habitude corriger son expo en mode flash TTL que ce soit indispensable, c'est juste une façon différente de procéder ++ Au moins, en ce qui me concerne avec le matériel dont je dispose. Avec une ou plusieurs mesures via flashmètre je raisonne d'abord sur des chiffres et ensuite sur un résultat visuel (première photo), sans ces engins (dépassés ?) on raisonne surtout en visuel (selon le résultat test on modifie la puissance de ses flashs). Dans les 2 cas c'est bien sûr le résultat final qui compte et pas obligatoirement le temps qu'on a mis, ou la méthode utilisée qui compte.

Pour faire simple, en tant que non expert en lumière de studio et utilisant à la fois flash de studio non TTL et flash nomade pouvant fonctionner en TTL comme en manuel, et possédant un flashmètre dont je ne m'étais plus servi depuis des années, ça m'a paru logique de le réutiliser. Je mesure la lumière produite par chaque flash et ensuite j'ajuste en fonction de ce que je voudrais obtenir. Mais comme je ne maîtrise pas exactement ce que je voudrais, ça passe qd même par des images tests.

Ce n'est pas un vrai pb lorsqu'on photographie des objects, là je peux prendre tout mon temps (c'est pas eux qui vont s'impatienter ou être gêné par.. les éclairs répétés), la photo c'est juste une passion. Par contre pour un pro, qui prends des personnes ou des modèles, il me semble qu'il doit d'abord préciser ce qu'il souhaite faire, anticiper qqe part la position de ses sources lumineuses pour réduite au maximum les essais, voire ne pas avoir besoin de multiplier les "tests" en cours de séance de shooting.

Du coup, pour un flashmètre, compte tenu qu'en numérique, on peut bcp plus facilement faire des tests, je ne suis pas totalement convaincu de la rentabilité, ni de l'intérêt d'un flashmètre.

1- Photos sans flashmètre
= TTL ou tout en manuel selon les sources qu'on va utiliser. Si la distance source lumineuse/sujet ne varie pas ou très peu, en mode manuel on n'aura pas besoin de modifier ses pré-réglages. Par contre, si cette distance varie, c'est clair qu'on devra s'en inquiéter = test.

2- Photos avec flashmètre
Pour flashs TTL j'utilise donc la fonction TCM de mon système Godox, mais c'est juste une facilité ++
Donc on peut partir tout en manuel d'emblée cad qu'on sait ici que ça passe dès le départ par une mesure (qui qqe part correspond à la 1ère photo test qu'on pourrait faire avec une utilisation TTL sans flashmètre). Sauf qu'ici, on effectue la mesure, ensuite on règle son boîtier et/ou en en même temps on modifie la puissance de sortie de sa source le tout avant de déclencher sa première photo.
Du coup, ceux qui n'utilisent que des flash TTL, ne voient pas trop l'avantage, ni l'intérêt.
Pour les "traditionalistes" qui sont passés par la mesure de l'exposition avec un posemètre non intégré à l'appareil, c'est différent... ça leur permet de raisonner comme ls le faisait au départ et qqe part comme ils le font dès qu'il existe un très gros écart de luminosité. Ils font 2 mesures : une sur les hautes, une sur les basses lumières et ensuite, en fonction de ces mesures, ils avisent. C'est la seule nuance. Le flashmètre c'est juste un posemètre qui est capable de mesurer la lumière produite par un flash, rien d'autre. Après il y a ou pas des fonctionnalités. Mon Minolta en est dépourvu à part, la mémorisation des mesures qui permet de les comparer (source 1, 2..etc).

Rqe : avec un posemètre externe ou un flashmètre apparaît une notion qu'on a perdu de vue avec les APN actuel c'est qu'avec ses appareils de mesure on peut effectuer 2 types de mesures : lumière incidente et mesure réfléchie ++ (un TTL = uniquement mesure lumière réfléchie). Perso, en 1ère intention avec ces appareils j'effectue une mesure de la lumière incidente cad la lumière qui arrive sur le sujet. Donc je réalise la mesure là où le sujet est ou sera (préparation d'un shooting).

En pratique, je pense que le marché des flashmètres, (comme celui des posemètres externes) s'est logiquement considérablement réduit du fait de la mesure TTL (expo std comme flash), les prix ont grimpés (marché de niche) et les modèles et marques se sont raréfiés.   

Cela dit je suis un peu étonné de la réponse qui vous a été faite par rapport à la notice du flashmètre SEKONIC LITEMASTER PRO L-478DR que j'avais cité, qui paraissait au moins avec le module approprié, compatible (au moins pour le déclenchement mais pas obligatoirement pour le réglage à distance) avec système radio Nikon donc intrinsèquement avec le SB5000 et ultérieurs avec récepteur radio Nikon intégré. Ceci dit vu son prix..

Là, je ne suis pas assez compétent pour vous apporter plus de réponses qui seraient pertinentes. A part "tâtonner' sans flashmètre cad faire des essais notamment avant la séance de shooting, je ne vois pas trop. Ce en sachant qu'avec un flashmètre, on "tâtonne" aussi en déclenchant systématiquement chaque flash avant de shooter ++ Simplement avec un émetteur radio "std" comme un Godox (ou tte commande centralisée dont optique), on peut régler nos flashs à partir de l'emetteur central = confort lorsque le flash est difficile d'accès ou distant + effectuer une mesure de la lumière ambiante dans telle ou telle partie de la scène (en utilisation "hors" studio pour équilibrer à notre convenance et non pas de façon AUTO lumière naturelle et éclair du flash). Confort, uniquement.

A+

Mon Flashmètre IV avec son dôme "blanc (mesure de la lumière incidente) pour illustrer mes propos (il ne déclenche pas, ni ne règle mes flashs à distance en mode radio => je passe par un émetteur Godox = système "captif"). Honnêtement, je ne sais pas si c'est indispensable ou simplement utile pour qqu'un qui veut progresser en photo de studio comme vous.
« Modifié: 17 mars, 2021, 09:00:35 am par orglop450 »
Z50 + D610

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« Réponse #7 le: 17 mars, 2021, 09:41:20 am »
Cela dit je suis un peu étonné de la réponse qui vous a été faite par rapport à la notice du flashmètre SEKONIC LITEMASTER PRO L-478DR que j'avais cité, qui paraissait au moins avec le module approprié, compatible (au moins pour le déclenchement mais pas obligatoirement pour le réglage à distance) avec système radio Nikon donc intrinsèquement avec le SB5000 et ultérieurs avec récepteur radio Nikon intégré. Ceci dit vu son prix..
Bonjour,
Merci pour vos nombreuses réponse.
Par rapport à votre point j'ai regardé très rapidement le premier site qui vendait ce flashmètre et sans surprise :
"Le L-478DR est doté de la technologie sans fil PocketWizard® qui permet un contrôle avancé d’une vaste gamme de flashes de studio reliés aux récepteurs PocketWizard® ControlTL® ainsi que du mode de déclenchement standard sans filcommun à l’ensemble de la famille PocketWizard®."
On parle bien d'utiliser un récepteur associé...
Ce qui me fait d'autant plus transpirer sur le choix de mon futur écosystème de lumière car aucun n'est compatible entres eux...
Imagine tu investis un peu en Godox puis tu veux te faire "plaisir" et continue sur du profoto...bah c'est pas compatible, ou faut autant d'émetteurs/récepteurs...
Bref c'est un autre sujet... :)

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« Réponse #8 le: 17 mars, 2021, 11:32:33 am »
Re,

Pour le Sekonic j'ai relu la notice et comme svt, ça ne me parait pas hyper explicite pour le récepteur dans le sens où la référence dudit récepteur du signal ne m'était pas apparue évidente.

Je dis ça en comparaison avec les émetteurs Godox lorsqu'ils sont utilisés pour commander des flashs Nikon : sur les photos qui illustrent leurs documents et leurs pubs on voit clairement leurs récepteurs. Et svt des images, ça permet d'avoir l'info qu'on cherche plus facilement.

Du coup je mesure moins l'intérêt de ce protocole soi disant std, s'il est "incapable" ni de déclencher, ni de contrôler des flashs qui seraient dotés d'un Rx intégré utilisant ce protocole. Ceci dit, le marché des flashmètres étant très restreint, seul le marché des flashs de studio avec Rx intégré (Elinchrom pour Elinchrom, Godox pour Godox..etc) mériterait une attention particulière donc, dans ce seul cas, en prenant le module émetteur spécifique à la marque de la source lumineuse (comme vous l'avez dit ça implique de n'utiliser qu'une seule marque de flash avec Rx intégré.. donc pas simple à gérer) du flashmètre (il y a bien pour le Sekonic un module par marque) on aurait au moins la possibilité de déclencher chaque source directement via le Sekonic en mode radio pour mesurer ensuite l'éclair. Reste du coup, cette notion de "std" Pocket Wizard dont j'ai du mal à saisir l'intérêt (sans doute par manque de données et aussi d'intérêt pour ma pratique)

La transmission radio posant moins de pbs que la transmission optique et/ou filaire qui restent tjs possibles mais plus contraignantes sur le plan pratique (optique = pb des obstacles / filaire = pb certes "mineur" du câble qui traîne), le but étant le "confort" qu'on a à ne pas avoir à se déplacer sur chaque source pour déclencher pour réaliser une mesure et/ou déclencher pour prendre cette fois là la photo et/ou aussi modifier le cas échéant la puissance de sortie de telle ou telle source 1,2,...etc

Des avis de photographes + habitués au studio seraient bien sûr les bienvenus.

Cela diminue qd même l'intérêt pour vous, alors qu'on est en numérique avec un SB5000 d'envisager l'achat d'un flashmètre (je n'utilisais plus mon Minolta IV depuis justement que je suis passé au numérique, là je n'avais plus à attendre les premiers tirages pour savoir si l'expo flash était OK ou pas ++). Avec un APN on peut re-shooter juste après avoir visualisé la 1ère image et corriger ou ajuster d’un poil si nécessaire. Le numérique en plus de la mesure flash TTL c'est clair, c'est une autre façon de prendre des photos même si les fondamentaux restent les mêmes.

Bonne journée à vous.
« Modifié: 17 mars, 2021, 22:27:13 pm par orglop450 »
Z50 + D610

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« Réponse #9 le: 18 mars, 2021, 16:44:06 pm »
Re,

Citation de: azerpoi
Avez vous un modèle de flashmètre à recommander?
Ainsi qu'un didacticiel pour utiliser ce genre d'équipement?

Flashmètre :

Avant de pouvoir recommander un modèle de flashmètre, je me permets de compléter mon message d'hier...  à propos de l'intérêt ou pas d'un flashmètre ++

Actuellement en termes d'équipement d'éclairage :
- utilisez-vous 1 seule ou plusieurs sources ? (comme pour bcp de choses, il est classique de commencer "simple" cad un seule source qu'on se dispensera d'appeler "key light" pour lumière principale. S'il n'y en a qu'une, ce sera donc elle = se concentrer sur elle, la maîtriser)
- si cette source est un flash nomade de type speedlight comme le SB5000 que vous évoquiez dans différents messages, pour ma part et sans vouloir absolument vous  pousser à la surenchère en achat de matériel, avec les limites de mes compétences (je ne suis pas du tout un pro et encore moins un expert en photo de studio), pour progresser je pense qu'un flash de studio d'entrée de gamme pourrait vous aider à vous faire une idée plus précise des intérêts et contraintes de ce type de sources de lumière. Entrée de gamme = manuel certes, mais prix qu'on pourra plus facilement "avaler" si on considère cette étape uniquement comme "test" ou "outil de progression". Apprendre a aussi un coût. Par rapport à un speedlight classique il apporte pour moi en plus :
1- lampe pilote ++ donc ça aide bcp, à mon niveau, à justement placer ma source au meilleur endroit (hauteur, inclinaison, orientation par rapport au sujet..), à me rendre compte + facilement qu'il peut y avoir des ombres, des reflets indésirables, inesthétiques. Me permets éventuellement de rajouter et de positionner au mieux des panneaux réflecteurs ou l'inverse ..etc. Ceci, avant même d'avoir shooté. Avec un speedlight, pour ma part, à mon niveau, je trouve que c'est bp plus difficile de me rendre compte dès le placement svt approximatif de ces "détails" certes peu gênant pour un amateur, mais plus difficiles à accepter à mon sens, lorsqu'on veut "vendre" ses images ou tout simplement, soumettre à la critique des autres (qui peuvent être très exigeants sur certains points auxquels je n'attacherais que peu ou pas d'importance au départ).
Rqe : il me semble que du fait de l'amélioration de la tenue en ISO certains privilégient les sources de lumière continue type LED par rapport aux flashs (nomade ou studio). C'est clair qu'une source continue est aussi facilement positionnable qu'un flash de studio avec une lampe pilote std de 150 watts. C'est donc un choix à faire.
2- puissance (on perd bcp de puissance dès qu'on utilise un modeleur et/ou qu'on recule sa source pour donner une plus gde liberté de mouvement au sujet : vous aviez évoqué il ya qqes mois ou semaines l'achat d'une octobox de l'ordre de 80 cm ou 1 m de diamètre mais en même temps d'un espace assez restreint => où en êtes vous ? - surtout que plus un modeleur est encombrant, si on dispose de peu d'espace, moins à priori, on disposera de possibilités pour le positionner là où éventuellement on aurait aimé le placer). Même si, dans un appart, un studio de petites dimensions on a à priori moins besoin de puissance que dans un très gd studio. Je dis juste "à priori" parce que je crois qu'un gd studio n'impose pas de placer obligatoirement ses sources nettement plus loin que dans une pièce exiguë. Par contre, la gde pièce et haute de plafond offrira plus de possibilités de positionnement avec des modeleurs de différentes tailles, parfois assez gds mais pas obligatoirement. Nuance.
3- délai pour se recharger
(liste non exhaustive qui me vient à l'idée)

Et là pour moi, oui dans ce cas là, un flashmètre, qd on débute avec un flash manuel, qu'on va déplacer pour trouver le meilleur angle, la meilleure position par rapport au modèle ou au sujet + positionnement ou intérêt de mettre un panneau réfléchissant..etc, oui dans ce cas je pense que ça peut déjà apporter un plus. Ensuite, si on rajoute un 2è source, son utilité sera encore plus appréciée notamment pour nous guider à régler l'écart de puissance d'une source par rapport à l'autre. Mais ça, c'est après. D'abord démarrer avec une seule source pour identifier les spécificités qui sont déjà nbreuses.

Un bémol, que vous avez évoqué, il faut acquérir des connaissances qu'on n'a pas obligatoirement. Comme je l'ai dit, pour moi, je n'ai pas eu gd chose à apprendre simplement parce qu'un flashmètre, sur le principe de la mesure de la lumière (incidente, réfléchie, concept du gris moyen..) réalisée avant de déclencher, c'est comme le posemètre externe que j'utilisais en argentique avant d'avoir un appareil avec mesure de la lumière en TTL. Aujourd'hui on pourrait se dire que c'est une perte de temps. Perso, dans certains cas, dont le réglage de son APN avec un flash manuel et des changements de positionnement et/ou de distance au sujet (critère très important avec une source de lumière artificielle, là je ne vous apprends rien), dans ce cas là, je n'en suis pas totalement convaincu. Un flashmètre peut faire gagner du temps = permet de trouver + rapidement, mais pas obligatoirement du premier coup (là je parle surtout pour moi. Gag !), les "bons" paramètres (meilleure maîtrise technique au service de votre sens artistique).

Didacticiel :

J'en ai trouvé un et vous livre qqes commentaires :

https://blog.photo24.fr/lexposimetre-quest-ce-que-cest/#:~:text=Le%20flashm%C3%A8tre%20est%20l'instrument,la%20lumi%C3%A8re%20qu'ils%20refl%C3%A8tent.

- en conditions "studio" je pense qu'il faut privilégier une mesure de l'exposition de façon sélective (pouvant être manuelle) et non de manière globale, le + svt automatique par l'appareil photo (lumière ambiante = mesure matricielle / flash = mesure TTL). Un flashmètre/posemètre permettant d'effectuer des mesures en lumière incidente (que reçoit le sujet) ou en lumière réfléchie (que renvoie le sujet) + parfois possibilité de mise en mémoire des mesures avec échelle de comparaison analogique en IL (notion de dynamique de capteur cad des écarts de lumière entre lesquels le capteur est capable d'enregistrer des données cad des détails qu'il faudra parfois passer par des fichiers RAW pour les faire apparaître en post-prod). Un APN permet de mesurer la lumière uniquement en mode réfléchi mais selon différentes modalités (matricielle, sélective..etc). Pas de mémorisation et de présentation des mesures similaire entre mon Z50 et mon Minolta IV. C'est une fonctionnalité. Pas indispensable. Idem, la fonction de déclenchement à distance des flashs directement par le flashmètre = je passe donc par un trigger (optique = Nikon CLS), radio = chez moi Godox)
- gris neutre (dans le doc : scène comportant une réflectance de 12%) => lorsqu'on effectue une mesure de la lumière, par défaut celle-ci est réalisée comme si la totalité de la zone prise en compte réfléchissait la lumière de 12% cad se comportait comme si la lumière était renvoyée par un gris moyen ++ Donc ça pose pb qd la scène est soit un mur blanc, soit un mur noir (surtout en cas de mesure "globale" par opposition à une mesure "sélective"). La mesure de l'expo "correcte" nous indiquant une exposition pour... uniquement obtenir un mur gris moyen. Ce n'est pas un gag mais une réalité ! - C'est pour cela qu'après une mesure de l'expo avec un flashmètre (ou un posemètre externe ou une mesure sélective avec l'appareil = résultats très proches) il est parfois nécessaire "d'interpréter" nos mesures (ou nos images notamment qd on shoote en TTL). C'est pour cela que je peux dire, que ça ne donne pas obligatoirement du 1er coup la mesure de ce que je souhaitais ++ Une expo "correcte" c'est techniquement uniquement par rapport au gris moyen, pas la scène réelle, avec des zones que je veux privilégier, des zones très claires et/ou très sombres.
- intérêt d'apprécier les zones claires les + éclairées = éviter de les "cramer" si elles sont étendues et/ou qu'on souhaite pouvoir y distinguer (ou récupérer en post production) des détails 
- intérêt d'apprécier les zones sombres les - éclairées = éviter de perdre des informations, des détails. Si une zone sombre est trop "sous-exposée", même en RAW, on ne pourra pas récupérer certains détails (dans le cas où bien sûr on voudrait en récupérer en éclaircissant la zone en post-production)
- du coup ça revient à évaluer un contraste global satisfaisant mais avec (si je le souhaite) des marges de manoeuvre à la fois dans les hautes et les basses lumières

En pratique et pour exemple (avec mon Minolta IV), en condition studio (cad pas de lumière ambiante perceptible lors de l'utilisation de mon flash) :
- j'indique à mon flashmètre les ISO (par ex 100 ISO), la vitesse d'obturation (par ex 1/200è) = mode flashmètre "priorité à la vitesse" qui 'a rien à voir avec le mode d'expo de mon APN que j'utilise généralement ici en mode manuel : ISO 100, vitesse 1/200è et ouverture au choix par exemple f/8)
- flash en mode manuel 1er éclair par exemple à la puissance de 1/4 (mon Godox MS300 peut être réglé entre 1/1 pleine puissance à 1/32)
- déclenchement du flash et mesure par le flashmètre positionné juste devant le sujet / l'objet au niveau de la zone qui m'interresse le plus, en direction de l'appareil et avec son dôme (mesure lumière incidente)
- lecture flashmètre =>
a/ il m'indique f/8 alors que je voudrais fermer à f/8 => d'abord "interpréter" la mesure ++ (l'histoire des gris moyens)
- interprétation de la mesure :
si l'objet est une feuille blanche si je sais qu'il va me donner une mesure pour obtenir un gris (et pas un blanc) = risque de sous expo
si l'objet est une feuille noire si je sais qu'il va me donner une mesure pour obtenir un gris (et pas un noir) = risque de sur expo
si l'objet est une personne à la peau claire si je sais qu'il va me donner une mesure pour obtenir un gris neutre = à priori ça devrait coller => du coup, je peux shooter
b/ il m'indique f/11 alors que je voudrais fermer à f/8 => d'abord "interpréter" la mesure ++ (l'histoire des gris moyens)
- interprétation de la mesure (cf ci dessus)
- s'il m'indique f/11 cela veut dire que le flash envoie à priori 2 fois trop de puissance si j'ouvre à f/8 (sur expo) => donc en ayant pris compte de mon interprétation en fonction du sujet, je réduit la puissance de moitié. Donc si mon flash était réglé à 1/4 je le place à 1/8 et je refais une mesure pour vérifier..etc.
c/ il m'indique f/5.6 alors que je voudrais fermer à f/8 => d'abord "interpréter" la mesure ++ (l'histoire des gris moyens)
- interprétation de la mesure (cf ci dessus)
- s'il m'indique f/5.6 cela veut dire que le flash envoie à priori 2 fois moins de puissance qu'i faudrait pour obtenir une expo "correcte" si j'ouvre à f/8 (sous expo) => donc en ayant pris compte de mon interprétation en fonction du sujet, j'augmente la puissance x2. Donc si mon flash était réglé à 1/4 je le place à 1/2 et je refais une mesure pour vérifier..etc. Sur le M IV la valeur d'ouverture est donnée en valeur entière std (f/4, f/5.6.;etc) avec une précision au 1/10è (par exemple au lieu d'afficher pile au milieu entre f/4 et f/5.6 il exprimera f/4 + 5/10è) en sachant que réglage d'un flash est variable selon les modèles pour passer d'une valeur entière à l'autre. Plus le flash est haut de gamme et puissant, plus généralement on dispose logiquement de valeurs. 

Prenez bien sûr des avis plus experts que le mien de principe.
 
A+

PS : initialement j'avais pris un Godox 400II mais je l'ai échangé au bout de qqes jours par un Godox MS300 un peu moins puissant mais bcp plus compact et léger, et qui a une plage manuelle réglable entre 1/1 et 1/32. Synchro : filaire, optique ou radio "propriétaire" (Rx intégré). Bien sûr ça ne vaut pas un Profoto, mais pour m'initier je ne regrette pas ce choix. Maintenant nous n'avons pas exactement les mêmes besoins. C'est sûr.

Remarque :
Citation de: azerpoi
Ce qui me fait d'autant plus transpirer sur le choix de mon futur écosystème de lumière car aucun n'est compatible entres eux...
Imagine tu investis un peu en Godox puis tu veux te faire "plaisir" et continue sur du profoto...bah c'est pas compatible,

Le flash avec son bol beauté pliant, puis le bol plié => à propos de votre constatation sur votre futur écosystème en éclairage : le choix de la monture des accessoires pour flash de studio. La monture Bowens est loin d'être la seule monture utilisée et proposée par les différents fabricants de flashs de studio (dans le cas où vous acheteriez ce type d'accessoire). Chaque marque tend à proposer des accessoires qui lui sont captifs. Par exemple chez Godox, si certains flashs de studio sont équipés d'une monture Bowens, d'autres.. ne le sont pas. Bref, je vous rejoins dans l'idée que le choix d'un écosystème n'est pas évident car il pose le pb de la non compatibilité, totale ou partielle des futurs achats avec ce qu'on aura déjà acquis. Vous êtes déjà au courant de cela. +1 pour vous.
« Modifié: 19 mars, 2021, 16:25:53 pm par orglop450 »
Z50 + D610

Enregistrer valeur TTL pour passer en manuel
« Réponse #10 le: 21 mars, 2021, 16:24:38 pm »
Merci Orglop pour toutes tes précieuses infos.
Alors pour l'instant j'ai :
Fond papier gris de 2,18m
SB-5000 avec parapluie pas cher de 109cm avec toile de diffusion intégrée.
Ce qu'il me manque le plus c'est des modèles pour le moment car je suis vraiment passionné de portrait et c'est pas facile à trouver.
Je pense que le prochain achat sera un X1pro pour avoir la fonction TCM + réglage facile de la puissance du flash.
Et après je pense que j'irais sur un Ad600pro mais si réellement je vois que je continue à fond la photo.
Je compte aussi m'inscrire en club pour avoir conseils, modèles et accès à un vrai studio.

Enregistrer valeur TTL pour passer en manuel
« Réponse #11 le: 21 mars, 2021, 20:40:25 pm »
Bonjour,

Citation de: azerpoi
Merci Orglop pour toutes tes précieuses infos.
Alors pour l'instant j'ai :
Fond papier gris de 2,18m
SB-5000 avec parapluie pas cher de 109cm avec toile de diffusion intégrée.
Ce qu'il me manque le plus c'est des modèles pour le moment car je suis vraiment passionné de portrait et c'est pas facile à trouver.
Je pense que le prochain achat sera un X1pro pour avoir la fonction TCM + réglage facile de la puissance du flash.
Et après je pense que j'irais sur un Ad600pro mais si réellement je vois que je continue à fond la photo.
Je compte aussi m'inscrire en club pour avoir conseils, modèles et accès à un vrai studio.

Merci à vous aussi de revenir sur ce post et aussi pour votre partage dans la rubrique Critique Photo Mode Beauté que je ne regarde que très épisodiquement et y intervient encore plus rarement. C'est vrai que ceux qui y exposent sont majoritairement des pros avec un niveau d'exigence et de qualité en rapport. Vos 2 photos, perso, je les ai trouvées super. Après c'est pour moi, du détail.

C'est clair qu'en photo notamment photo de studio bcp d'éléments à mon niveau et à priori déjà au vôtre, semblent devoir être pris en compte dont :
- le choix et la direction du modèle (pour vous), de l'objet pris en photo (pour moi)
- une meilleure maîtrise de l'éclairage
- meilleurs réglages lors de la prise de vue
- post-production..etc

Pour la stratégie d'acquisition d'un matériel plus adapté à votre pratique, là bien sûr, je n'ai pas l'expérience. J'ai un métier qui n'a rien à voir avec l'image. Un Godox AD600 Pro OK c'est plus puissant, on peut effectivement l'utiliser à l'intérieur comme en extérieur, TTL (très pratique dehors) et manuel de 1/1 à 1/256 (perso je préfère le manuel en intérieur pour "tout" contrôler, donc je pense que c'est mieux en studio), mode HSS (logique pour l'utiliser en extérieur avec la lumière du soleil et à gde ouverture si vous êtes un accro au bokeh/flou d'arrière plan), on n'a bien sûr une lampe pilote (équivalent 300 watts : il faut plus de puissance en extérieur sinon, bien sûr on ne verra pas ce que l'on fait à cause du soleil).. mais en termes de tarif on est très, très loin d'un MS300. Surtout si vous envisagez réellement l'achat d'un flashmètre, ces derniers ne sont pas vraiment donnés, y compris les modèles d'entrée de gamme. Pour régler une seule source, je suis, vous avez pu le percevoir, moins convaincu de l'intérêt, par contre, dès qu'on passe à 2, là ça aide davantage. Même si ça ne supprime pas l'obligation pour moi, d'afficher sur un plus gd écran que celui de son appareil photo, l'image test ou pas d'ailleurs, qu'on vient de prendre pour pouvoir mieux l'analyser juste après l'avoir prise, détecté ce qu'éventuellement vous pouvez améliorer (positionnement de la source hauteur et distance au sujet => plus la source est rapprochée, vous avez dû le constater, plus le dégradé, cad la diminution de luminosité varie = ce qui est prés de la source est très clair, et ça s'assombri hyper vite = fall off, plus la source est éloignée, certes on perd bcp de puissance, d'où l'intérêt des flashs de studio, mais ce dégradé en nettement atténué). Et du coup, optimiser si besoin le tir.

De mon seul point de vu, je reste sur le fait que passer d'un SB5000 à un MS300 n'a pas que des inconvénients, quitte à soit le revendre ensuite ou soit tout bêtement à l'utiliser ensuite comme 2ème source (soit pour déboucher les ombres, fill light / soit pour éclairer le fond, back light). L'avantage, c'est bien sûr son prix versus un AD600 et bien sûr un Profoto de 600 watts (systèmes radio captifs, c'est Godox ou Profoto, pas les 2 en même temps, je ne l'oublie pas..).

Sinon, avoir choisi Lightroom en ce début 2021 me semble un très bon choix, même si pour ma part j'ai d'abord longtemps utilisé un logiciel gratuit Darktable :

https://www.darktable.org/

Lightroom-Photoshop reste un std cad qu'il n'est pas obligatoirement le meilleur partout, mais c'est le plus utilisé et du coup, les échanges et la progression sont nettement facilités par rapport à un logiciel gratuit, moins diffusé. 

En attendant de trouver pour vous d'autres modèles, bonne continuation à vous dans votre progression.
Z50 + D610

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