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Skeudenner, moi ce qui me dérange, c'est de toujours mettre en avant le D750.
Quel est donc l'intérêt de ce nouveau fil ?
On a tous compris que tu acquis le meilleur des boitiers Nikon et que tu es subjugué.
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Subjugué, le terme est joli et sonne bien, un peu comme un compliment, je l'adopte !
En continuant ma quête d'informations sur le Nikon D750, je suis arrivé sur "Shots", un site consacré à la photo où l'on peut lire un article consacré à un test sur le terrain du Nikon D750 effectué par Hervé Le Gall, photographe professionnel de Brest
(de Brest même ! mes amis bretons comprendront).
J'invite notre ami brunocb750 à commencer à consulter le dictionnaire des synonymes tout de suite, parce que là on franchit un seuil, si moi je suis subjugué alors lui il a dépassé le stade de la subjugation !
Bon, plus prosaïquement, il narre son expérience avec le D750 dans une salle de concert et en tire des conclusions, comme d'autres avant lui en d'autres lieux et circonstances. C'est d'ailleurs l'addition de ces expériences qui permet de se faire une opinion. Je donne ici quelques passages, l'intégralité de l'article est ici :
http://www.shots.fr/2014/11/05/test-terrain-nikon-d750-en-photo-de-concerts-samedi-soir-au-vauban/Pour ceux que cela intéresserait, le test en extérieur est ici :
http://www.shots.fr/2014/10/28/test-terrain-nikon-d750-cest-du-nikon/Pour planter le décor, je cite :
"J’en arrive presque à espérer qu’il se ramasse, qu’il nous montre un peu de sa part d’ombre, histoire de pouvoir (enfin) écrire ses quatre vérités, faire un bon article bien critique, comme on dit dans le milieu journalistique."Une expérience du D3s vs D750, je cite :
"La prise en mains et l’ergonomie de D750 sont évidemment radicalement différentes et naturellement les automatismes ne sont plus là. Ça implique donc de faire les choses de manière moins instinctive, de réfléchir à comment-je-fais-quoi et donc de rater l’instant.
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D’ailleurs j’ai passé une partie de la soirée à me maudire de ne pas avoir amené mon D3s. Voilà un peu pour les points négatifs du test terrain. Parce que, pour tout le reste, Nikon D750 m’a salement bluffé."La montée en iso, à 6400, je cite :
"Le résultat est bluffant. Pas un pet de bruit dans l’image à 6400iso, un niveau de détail, une dynamique de l’image, un velouté de couleurs délicieux, en particulier dans les bleus et les nuances d’orangé.
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Une montée en iso qui assure et un mode de mesure hautes lumières qui s’avère encore une fois particulièrement efficace, comme sur D810 dont est issue cette fonctionnalité."Voyons l'autofocus , je cite :
"Nikon D750 ne rate pas le coche. Le petit dernier a donc hérité de l’autofocus familial, de cette capacité à trouver le point et à accrocher le focus même dans des zones sombres et difficiles. Le mode AF groupé fait encore une fois des miracles, même si pour ma part, je préfère le collimateur unique qui me semble nettement plus précis."Question d'ergonomie, je cite :
"Du point de vue de l’ergonomie, c’est (très) compliqué de passer d’un boîtier pro comme D4s ou D3s à Nikon D750. En revanche, la fonctionnalité ultra pratique de D750 c’est le bouton info qui interagit en temps réel avec les commandes. Vous activez le bouton info, toutes les infos du boîtier s’affichent à l’écran."En conclusion, je cite :
"Nikon D750 ne déçoit pas, même en conditions de lumières délicates
Au chapitre de la précision autofocus, D750 se comporte merveilleusement bien, avec beaucoup d’aisance, même dans les zones sombres.
Au chapitre montée en iso, là aussi un excellent résultat avec une image qui reste propre à 6400iso.
Globalement, Nikon D750 est très bon sur toute la ligne, particulièrement sur l’AF et les fonctions connexes (mode groupé, mode de mesure hautes lumières) et sur la montée en iso où il s’avère surprenant."La conclusion de la conclusion..., je cite :
"Nikon D750 a hérité du meilleur de Nikon, de D4s comme de D810 il a pris l’autofocus, le mode AF groupé, le mode de mesure hautes lumières et ajouté une ultra sensibilité et une montée en iso remarquable, alors effectivement, on est en droit de se poser la question. Que reste-t-il aux grands ?"Là est très probablement la pierre d'achoppement, d'où quelques crispations.