Je conais les possibilités de débrayage du F100. Quoi que le custom "22", je m'en souviens vaguement dans la notice d'emploi. Il permet de faire des réglages directement sur la bague du diaph et non pas sur la molette dédiée.
En effet en mode M, on peut en tournant légèrement l'une des deux molettes sur ou sous-exposer une photo. Le repère gradué est bien fait. Mais ce repère disparait en mode A ou S, il faut passer par une sélection sur afficheur digital pour sur ou sous exposer. Il est vrai que le viseur est très appréciable. La matricielle 3D ,honnêtement, je n'ai pas vu une grande différence car j'ai été bluffé par la cellule du FM2, même meillleure que le FE2.J'ai essayé des gros plans s sur un sujet sombre et un fond très clair, la mesure centrale pondéré du FM2 le gérait trés bien.
Attention, je ne dénigre pas le F100, mais j'appréciais la simplicité rudimentaire du FM2 où on prend un peu plus le temps. Le F100 est en plus un excellent boitier pour shooter vite et bien.
Pour utiliser l'hyperfocale avec un MF, il suffit de pousser la bague à l'infini, avec un AF, je dois débrayer l'objectif. Bref, ily a constament des petites manips à faire pour retrouver de la simplicité d'utilisation et ne se "prendre la tête" que sur du cadrage, de la mise au point ou de la pdc.
QUi ne sait pas fait piéger par des mauvais réglages sur son boitier qui ne correspondent pas pour un nouveau type de photo, et s'en rendre compte après coup " et merde, je n'avais pas remis à zéro mes paramètres de correction d'exposition !!!" ou bien "j'ai shooté trop vite,je me suis pas rendu compte que le boitier sur S au 1000é alors que la synchro est à 250". Une belle barre noire paraitra sur la photo.
Je précise que je suis amateur et que ces erreurs peuvent faire sourire des pros, mais qui n'a jamais été "victime " de la richesse techniques de ses boitiers.
Au risque de paraitre fétichiste (mais ce n'est pas le moindre défaut des nikonistes
), je pense que ces anciens boitiers fleurent bon la simplicité, la robustesse. On peut leur faire confiance. Plus fiable qu'un conjoint (e) ou qu'un employeur