En effet, moi aussi, j'ai acheté à un époque bcp de produits chez Pix.. Jamais le moindre souci. Mais un jour, j'ai passé une commande chez un VPCiste du hard basé à Lyon pour 3 imprimantes bien dispo sur le site au moment de la commande.
2 semaines et pas de livraison et je reçois une réponse sur mon premier mails de réclamation que le modèle n'existait plus. On me file un Bon d'achat virtuel.
Furieux, j'arrive d'avoir une personne au tél. pour l'annulation de ma commande avec ma demande de recrediter ma CB. On m'informe qu'il fallait envoyer une lettre A.R. pour l'annulation et on m'envoyerait uniquement un chèque sous 15 jours. Tout sera bien stipulé dans les CGDV.
Finalement, ça m'a couté 3 lettres AR et 10 semaines pour récuperer mon argent.
Encaisser notre fric mais pas capable de nous le restituer dans la même façon sur demande et faire marcher un système de chq, c'est assez oser pour travailler avec notre argent.
Sur les débits de la CB sans code, sachiez que vous avez jusqu'à 3 mois pour faire opposition. La banque contacte la sté débitrice pour demander des preuve pour le débit (Bon de commande, Bon de livraison, bordereau de transport, facture). Il souffit que l'adresse de livraison est différente, et le vendeur a déjà un problème.
En 2004, je bossais dans une sté de VPC et on était victimes des CB croisées. Personne A commande avec la CB de Personne B et un nom de livraison/adresse différente. Alors 3 personnes se sont croisées leurs CB, aucune était déclaré volée. Plus de 8 semaines après, une lettre du service CB de notre banque pour fournir les preuves de ses encaissement.
Montant au total : 9.500 €. En réalité, une société de VPC doit se faire signer un BdC par l'achateur pour être couvert. Mais comment prouver dans l'action que c'est le deteneur de la CB qui a signé.
L'achat avec une CB comporte bcp plus de risque au vendeur qu'au deteneur de la carte.