Ah ça, oui alors ! C'était loin d'être gond.
Parce que, je sais pas si vous vous êtes amusé(e)s à utiliser un fusil-photo avec un F36 vissé dessus (il convient de fixer deux points : le télé et l'appareil pour avoir un ensemble solide et bien structuré, sans quoi d'éventuels mouvements risquent de fausser le groupe optique/boîtier, ne mettant plus le plan film perpendiculaire à l'axe optique, ce qui est fâcheux).
Pour changer de film "en catastrophe", c'est-à-dire lorsqu'une scène intéressante se déroule et que bêtement il ne vous reste qu'une demi-douzaine d'images à griller, c'était impossible et fort risqué pour la santé du matériel pour peu qu'on se trouvât dans une position peu orthodoxe.
Le F2 a rendu ce simple fait de changer de bobine aussi compliqué qu'un jeu d'enfant… C'était bête comme chou, mais intelligent !
Pour ma part, je n'ai jamais compris l'intérêt de se retrouver avec un dos complet d'appareil sur les genoux ou sous l'aisselle ou coincé entre les cuisses, alors qu'il est si simple et pratique d'ouvrir une porte… Quant au système des Leica… pourquoi faire simple quand on peut faire compliqué ?
Jamais été ma cup of tea non plus…
Chenz avait le droit de se planter et, sur ce sujet, il était à côté de ses pompes…
En parlant de pompes, la suite au Nikon Bar !