Au sujet de la mise sur le marché du F6, une rumeur circulait que le F6 devait son existence à une commande quantitative de l'armée US, ce qui au regard du volume commandé rendait la production et la diffusion de cet appareil rentable pour Nikon, au niveau du réseau commercial traditionnel.
A l'heure où toutes les marques se désengagent de l'argentique au profit du numérique, cette hypothèse pourrait être rationnelle, car quand on sait le budget à consacrer en R and D pour sortir un appareil, seule une commande spéciale avec un cahier des charges bien défini peut rentabiliser un tel projet.
Désolé de retirer du baume au coeur pour ceux attendant la sortie d'un F6 post numérique...
Olivier