On oublie un peu le problème de l'équilibre entre lumière ambiante et source auxiliaire, c'est ce qui m'importe le plus !
Dans le cas d'un flash, nous avons 2 automatismes d'exposition qui fonctionnent de manière indépendante :
- L'obturation classique en mode M ISO auto, (ou en mode A, peu importe) qui s'occupe du fond
- Le flash auto en mode TTL dont on peut régler l'intensité, qui assure l'avant plan.
Dans le cas d'une ring light, ou de toute autre source continue portée par l'appareil, nous n'avons que l'automatisme d'exposition du boitier. Il faut doser donc cette source pour l'équilibrer avec le fond, ce qui suppose des mesures préalables ou des essais, sauf erreur de ma part. Quand je fais une recherche d'images sur Google avec "ring ligth" je vois une grande majorité d'images sur fond noir, style photos de soirées people dans les magazines. C'est un type d'image que je déteste ! Et la photo du homard, avec sa légère surex sur la bête, montre bien les difficultés de l'exercice !
Je ne conteste pas l'interêt de ce genre de source, mais je pense que nous n'avons pas du tout les mêmes préoccupations :
- Tu es photographe je suppose pro, tu travailles en studio (les photos d'enfants en sont la preuve), tu prends le temps de régler tes lumières, c'est très bien !
- Moi, je suis quelqu'un qui fais plein d'autres choses que de la photo, mais qui est sans cesse à la recherche de solutions rapides, simples et efficaces (j'ai un passé de responsable productivité dans l'automobile
), mais correspondant à un niveau d'exigence relativement élevé, que j'illustre par mes exemples.
Aucune certitude dans mes propos, simplement une petite expérience qui me permet de faire mon boulot de photographe amateur. Le jour où les évolutions techniques me permettront de faire mieux, je changerai !
Merci pour ces recherches sur ce type de matériel, je vais regarder cela avec interêt et sans sectarisme !
Bonne journée !
Jacques