"Essayer de faire de la photo de concert de metal avec très peu de lumère et sans flash avec un leica 3G et une peloche de 50 iso, juste pour voir."
Pas très cohérent non plus.
Dans les années 60 il n'y avait pas de concert de "métal", Dieu nous avait encore en pitié !
Il n'y avait plus de Leica 3G mais des 3M ET des 2M.
La TrixX ne faisait pas 50 isos mais 400 pouvant être traitée à 800 isos.
Il y avait de optiques ouvrant à F 1,4.
Et le photographes n'étaient pas tous manchots !
Au temps des débuts de cartier Bresson, dans les années 30, non.
le Leica M n'existait pas et l'ouverture max etait à 3,4.
Les summicrons sont apparus plus tard
Et si tu regardes dans le viseur d'un Leica 3G, c'est autrement plus difficile de viser et de faire le point qu'avec un Nikon D3/D4 maintenant (et qu'un leica M)
Ce que je veux dire, c'est qu'il y a des limites techniques dont tu ne peux t'affranchir.
Les progrès techniques apportent un confort de travail, surtout en photos basse lumière.
Par exemple, le D3s m'a apporter un GROS plus par rapport en D700.
Là ou le D700 bruitait et necessitait un flash, le D3s n'en necessite pas, et l'image est (presque) parfaite.
Le D4 a l'air d'etre encore mieux.
Ce sont des évolutions sur lesquelles on ne crache pas quand on fait de la photo de spectacle.
Car le post traitement est souvent long et fastidieux.
Donc toute amélioration au niveau de l'image brute permet un gain de temps non négligeable.
Premier avis d'un pro de la photo de spectacle, ancien canoniste, Hervé le Gall
http://www.shots.fr/2012/01/09/nikon-annonce-son-nouveau-haut-de-gamme-professionnel-nikon-d4-one-step-beyond/