L'effet de la parallaxe de visée est que, pour un sujet proche, le cadrage est coupé su coté où est le viseur…
Tu utilises un film moins large que celui prévu, donc tu coupes, si le film est bien centré, en haut et en bas (pour une image horizontale)
Les bons viseurs d'antan avaient un repère de cadrage à courte distance et un à longue distance… (et les très très bon (Leica) avaient (et ont encore) un repère de cadrage qui se déplace en fonction de la distance de mise au point).
Le meilleur viseur optique que j'ai vu sur mes appareils numériques est celui de mon FinePix 4700Z… un numérique d'un autre âge qui valait, à sa sortie, le prix d'un kit reflex type D7x00 avec une optique qui n'était pas le 18-55…
C'était une autre époque et les SmartMedia les plus grosses n'accueillaient que 36 images en Jpeg à la compression minimale…
Pour revenir au sujet, l'étanchéité à la lumière d'un roll film est faite par les flasques de la bobine… Il me semble indispensable que la bobine débitrice comme la bobine réceptrice soient des bobines 120…
J'avais vu que des petits malins vendaient des adaptateurs fais en impression 3D pour monter des cartouches 135 à la place de bobines 120… Tu as peut être pas trop loin de chez toi un fab lab qui pourrait t'aider à faire les adaptateurs 160 / 120…
(et le film sera bien positionné et le film exposé sera bien protégé de la lumière)
A+
Laurent Galmiche