Les stratégies des éditeurs diffèrent d’un pays et d’une langue à l’autre.
L’anglais favorise une diffusion étendue, en toute logique.
L’allemand moins, mais peut-être ont-ils un autre avis. Ou il s’agit de traductions.
Il peut s’agir d’accords particuliers aussi. En France l’auteur ou l’éditeur doivent acheter le boîtier pour écrire le livre. Quand c’est un modèle à 2 ou 3000 euros, ça plombe le budget.
Enfin un auteur qui est photographe par ailleurs, c’est le cas de Vincent Lambert pour Nikon, peut décider d’avoir des activités plus rentables, tandis que d’autres n’ont peut-être que ça.
Les traductions d’ouvrages en anglais coûtent beaucoup moins cher à produire si l’éditeur peut acheter la licence au tarif qui lui convient.
Certaines éditions ont aussi pris l’habitude de faire de l’abattage, et de sortir des livres de qualité moyenne à des rythmes fous pour faire du chiffre. J’ai des noms