Clairement, la force de PS ce sont les calques, les masques et les modes de fusion.
Les réglages d'expo, contraste et autres sont présents dans les logiciels les plus basiques. PS le fait aussi, mais n'apporte rein de notable en plus, tant qu'on traite l'image dans son ensemble.
Mais pour faire :
- du tone mapping ou du contrast mapping en paysage
- de la retouche portrait - avec les outils Correcteur, Doigt,... du Dodge and Burn... du split toning... pour éclaircir le blanc des yeux, densifier la couleur de l'iris...
- une conversion en Noir et Blanc aux petits oignons avec traitement par couches
- un effet de flou sur l'arrière-plan...
- la retouche des perspectives dans tous les sens imaginables...
Sans parler de l'effacement des objets incongrus, le HDR, le le Focus Stacking, l'assemblage panoramique -- pour les fans de chacune des ces fonctions...
Et le tout contrôlé au huitième de poil avec le réglage d'opacité des calques, entre 0 et 100%, et si besoin une gradation transversale de l'effet avec l'outil Dégradé.
J'arrête là l'inventaire. Je n'ai certainement pas mentionné quelques dizaines de fonctions que d'autres trouvent certainement indispensables, ni la possibilité de récupérer des scripts "tout faits", bien pratiques pour juger des possibilités immenses de ce logiciel.