Konica-Minolta n'a pas été fusillé par les actionnaires, mais par ses clients. Et ses choix (APS en argentique, retard à l'allumage lors de l'arrivée du numérique, sortie tardive du D7D...). Quand on voit les pertes qu'ils font en photo, ouch...
La division photo, pour visible qu'elle était par le grand public, notamment les photographes, ne représentait d'ailleurs plus qu'une petite part de la société.
Au moins là, les minoltistes ne sont pas complètement perdants, puisque la gamme reflex continuera.
Reste à voir si Sony saura assumer l'héritage comme il se doit.
Il est un peu tôt pour le dire, laissons-leur au moins une chance.