Tout juste.
L'ADL (ou DLA en anglais) n'est pas jeune ( introduit sous le D3 je pense). C'est une correction tonale et par zones de lumière qui permet de préserver HL et BL par une meilleure répartition des tons dans l'intervalles des valeurs détéctées par le capteur de lumière ( sur un réflex).
Associé à un mode automatique ( P, A, S) on peut, par erreur penser que c'est lui qui sous expose ou sur expose selon le besoin alors que ce sont les modes autos qui pilotent et provoquent ces ajustements : en pasasnt en manuel on voit que l'ADL respecte trés bien le fait que jamais Nikon dans aucun document n'indique autre chose que " préserver les HL et BL) , jamais qu'il change l'exposition.
Son fonctionnement le plus facile à piger est associé à la mesure matricielle. Sauf ds un cas peu fréquent où on souhaite maitriser de façon trés pointue l'exposition d'un cas difficile, le laisser sur on ne nuit en rien. Il n'en n'est pas de m^me quand on l’associe au mode de protection des HL introduit sur le D850 ce qui conduit à qqs aberrations
Pour info Nikon refuse de communiquer le fonctionnement de fonction en détail, notamment si entre les Z et les réflex l : en fait l'ADL est affecté d'une licence car développé par une société Apical Imaging rachetée en 2018 par ARM le fabricant de puces. C'est une sorte de boîte noire pour les ingés de Nikon qui n'ont pas ou ne veulent pas communiquer la fonction et reconstituer tous les cas de figures d'exposition multiplié par le nb de modes de l'appareil pour reconstituer la totalité de la fonction de façon mathématique simple n'a jamais été fait.