Difficulté de l'argentique ou facilité du numérique, c'est un faux problème, le mieux est encore de réfléchir avant de déclencher.
Je trouve bien qu'il y ait encore des gens qui s'intéressent à l'argentique et à une pratique différente du presse-bouton en rafale.
Surtout que lorsqu'on a l'occasion de voir certains résultats de rafales, on est pas déçu!..
Bref, je ne puis qu'encourager ce genre de démarche, et aussi de développer soi-même les films.
Ce qui est simple et facile, bien plus que ce que s'imaginent souvent ceux qui ne l'ont jamais fait.
Un manchon de chargement, une cuve, du révélateur, un bain d'arrêt, du fixateur, un thermomètre et une montre, pas besoin de pièce dans le noir.
Par contre pour débuter utiliser les recommandations du fabricant de film, concernant l'exposition (sensibilité) et le développement.
Par exemple Kodak Tri-X
http://imaging.kodakalaris.com/sites/prod/files/files/products/f4017_TriX.pdfT Max 100:
http://imaging.kodakalaris.com/sites/prod/files/files/products/f4016_TMax_100.pdf