"Le transfert se fait donc en temps masqué."
Tout à fait d'accord.
Mais loin de moi la nostalgie.
Du temps de l'argentique c'était encore plus contraignant : vider le film dans la cuve spiralée dans le noir absolu, respecter la triplette température-agitation-temps, essorer sans rayer, sécher sans poussière ; puis tirer-développer en cuvette, ou cuve Jobo, ou machine à train de rouleaux Durst. La tolérance à la moindre erreur était quasi-nulle ; mes vieux négatifs Fujichrome autrefois développés à la maison se dégradent spontanément.
Mes vieux amis et moi sommes tous issus du labo argentique amateur, et passés aux Nikon D8.. avec DXO et Adobe ; celui qui n'a pas encore remplacé son ordi de 2012 (Mac) se plaint de la lenteur de ses opérations de développement + post-traitement DXO et Adobe, il finira par moderniser son hardware informatique.
Je conseille en parallèle la lecture du site de Nasim Mansurov, un homme réellement pragmatique.
Cdt
PS : j'oubliais le temps nécessaire à scanner les 24-36 avec le coolscan , pendant la période de pdv argentique avec développement numérique.