Ça y est: après tant d'autres, les garnitures de mon D200 sont aussi gagnées par des velléités indépendantiste et ont entamé une guerre de sécession. Une rupture de l'unité photographique étant inenvisageable, je maintiens le statu quo en tenant l'affaire d'une main de fer, ce qui limite l'avancée du front, mais à terme la situation deviendra intenable et il me faudra desserrer l'emprise sans perdre parti.
Conscient que seul face à cette infortune la capitulation n'est qu'une question de temps, j'en appelle d'urgence à l'aide internationale et à ceux, durement éprouvés, que le passé a confronté à pareille adversité, pour déjouer les manœuvres sournoises de garnitures en néoprène séparatiste, et dénouer cette crise ouverte.