du vent de sable: n'importe quel filtre jetable type non-name (mais le filtre ne protège pas l'optique des infiltrations de sable dans le mécanisme, donc vous aurez un objectif beau mais grippé.... la belle affaire!!!)
Ne m'en parlez pas: mon 18-200 préféré s'était pris une giclée de sable (bien) fin sur une plage. la lentille frontale n'a rien eu bien que non encore filtrée. En revanche les bagues se mirent à crisser à faire grincer des dents à chaque manipulation. La mort dans l'âme et surtout craignant une usure prématurée de mon joyau, je me résolu à le faire nettoyer et le rapportais donc au SAV de la FNAC où il avait été acheté.
Le temps, comme à son habitude, passa.
Les semaines, puis les mois...
Un jour, n'en pouvant plus de tourner en rond comme un lion en cage, je quémandais quelque nouvelle, après avoir franchis l'épreuve du serveur vocal: "Allo? Votre objectif Nikon? Vous avez le n° du bon de dépôt? (etc...) Ah oui, il nous a été renvoyé par le SAV Nikon, mais ils ne l'ont pas réparé, vous n'aviez pas renvoyé le devis signé."
C'était Kafka et son formulaire A625bis.
Renvoi du caillou chez Nikon par la FNAC.
Entretemps, je reçu le fameux devis qui avait fait le détour par les Alpes Maritimes pour me parvenir, parce qu'un employé avait noté 06700 comme code postal au lieu de B-6700.
Un mois + tard: "Votre matériel est disponible. Veuillez (etc...)"
Je récupérais mon bien et le testais immédiatement. "Dites, y'a l'AF qui marche p'us, c'est pô normal ça!"
Renvoi du caillou chez Nikon par la FNAC.
Un mois + tard: "Votre matériel est disponible. Veuillez (etc...)"
Cette fois-ci fut la bonne. Je récupérais mon objectif juste à temps pour le plus beau des mariages: le mien.
Nous nous mariâmes et fîmes 1500 photos ce jour-là.
L'objectif fut déposé le 4 février 2008 au SAV de la FNAC et récupéré en état de marche le 25 août de la même année.