Pas de mesure d'exposition : comme l'a dit alfor, ça veut dire que tu dois déterminer toi-même les paramètres d'exposition, vitesse, ouverture et ISO sans l'aide de l'électronique du boitier.
Tu peux éventuellement utiliser une cellule à main, mais en macro il faudra corriger l'expo selon le rapport de grandissement.
Si tu utilises une source de lumière continue, sa puissance est stable (à distance source-sujet identique) et donc, après quelques essais, tes paramètres seront déterminés une fois pour toutes, il n'y aura plus besoin d'y revenir.
Ouverture réelle : ça veut dire que si tu règles ton diaph à f/8 par exemple, tu auras une visée très sombre dans le viseur (d'autant qu'aux rapports élevés on perd deux ou trois diaph de plus, donc on est rapidement f/22 réels), et il sera très difficile de faire la mise au point manuellement.
Il faut donc opérer en trois temps : 1° mise au point à l'ouverture maxi, f/2.8 pour cette optique, puis 2° réglage à l'ouverture souhaitée, f/8 dans l' exemple, et 3° déclenchement. Cette méthode implique de se servir d'un trépied.
En ce qui concerne le stacking, le rail micrométrique est suffisamment précis pour des piles de quelques images, 5 , peut-être 10.
Au delà, il faut changer de méthode, car on parle de déplacements réguliers, espacés d'1/10ème de millimètre ou moins, voire de quelques micromètres. Cette précision est quasi-impossible à atteindre manuellement.
On utilise alors un stackshot motorisé, comme celui-ci par exemple
http://www.cognisys-inc.com/products/stackshot/stackshot.php En général, on préfère laisser le boitier fixe, pour réduire les vibrations. C'est le sujet qui est positionné sur le stackshot et qui se déplace.