la seule raison que je vois est la récupération des hautes et basses lumières en post-prod.
C'est exactement ça.
C'est aussi pour conserver d'avantages de nuances quand on remonte fortement les basses lumières.
Pour ma part, je reste en 14 bits, compressés sans pertes (donc aussi des NEFs à 50Mo pièce), d'autant que le D850 offre une fameuse dynamique, alors autant en profiter.
1° C'est trop contraignant de régler les paramètres d'enregistrement systématiquement "au plus juste" ; et comme "qui peut le plus, peut le moins"...
2° Avec 1000 à 1500 déclenchements annuels, ce n'est pas la saturation qui guette mes disques durs.
3° Cependant, je supprime désormais les NEFs "indignes" d'être développés ; auparavant, quand ils (ne) faisaient (que) 15Mo (D700), je les conservais systématiquement tous.